Ce que veulent les femmes
Datte: 04/11/2018,
Catégories:
fh,
grosseins,
fdanus,
C’est quand Juliette vint rejoindre Antoine dans le lit, alors qu’elle retirait son vieux t-shirt qui faisait office de chemise de nuit en découvrant ses seins magnifiques, gros, opulents et sensuels, qu’Antoine lui annonça que son vieux copain Marc l’avait appelé dans l’après-midi. Il devait passer en ville pour son job dans quelques jours et Antoine l’avait invité chez eux pour l’occasion. Juliette apprit la nouvelle avec plaisir. Elle avait rencontré Marc deux ou trois fois, elle le trouvait charmant et qui plus est beau garçon, ce qui n’était pas pour lui déplaire. Elle savait qu’il y avait une vieille amitié entre les deux hommes et qu’ils s’entendaient comme larrons en foire. Elle vint se lover contre Antoine et lui caressa le ventre. — Super, il arrive quand ?— Mercredi prochain, je lui ai proposé de venir dîner.— Dis donc, mon lapin, tu dois en avoir des souvenirs avec ton copain Marc… Souvenirs, souvenirs… Plusieurs années de suite, Antoine et Marc avaient passé un bout de vacances ensemble, partageant en célibataires un appartement un peu vieillot, mais accueillant dans le centre d’une station balnéaire animée. Ils avaient une vingtaine d’années, ils étaient jeunes et beaux comme des dieux, ils sentaient le sable chaud et ils écumaient les plages, restaurants et boîtes du coin, s’étourdissant des jeux de la séduction et de l’amour. Françaises ou étrangères, en vacances ou travaillant dans la région, jeunes ou moins jeunes, célibataires ou mariées, peu de femmes ...
... résistaient alors à leur charme. Ils avaient cependant un faible pour ces femmes mariées, rayonnantes et malicieuses, qui la trentaine passée, formaient des bataillons de célibataires en goguette le temps de retrouver leur mari en fin de semaine. Les rombières, ils les appelaient à l’époque en rigolant. En fait ils avaient beaucoup de respect pour elles, femmes chaleureuses et gaies, sensuelles et inventives, féminines et passionnées qui leur avaient beaucoup appris et en quelque sorte beaucoup donné. Grâce à eux, certaines d’entre elles avaient assouvi leur envie plus ou moins avouée de s’envoyer en l’air avec deux hommes. Elles avaient offert à leur virilité insatiable et alors encore un peu primaire les débauches sensuelles des féminités radieuses et échevelées. Cela avait été d’intenses moments de plaisirs charnels, qui les avaient fait passer à l’age adulte des plaisirs du sexe. Les premières fois, c’était leur partenaire qui prenait d’emblée l’initiative d’un trio et, il faut bien l’admettre aussi, celle de leurs ébats. Ce n’est que progressivement qu’ils ont appris à susciter l’envie de leurs nouvelles partenaires, à inspirer à leurs esprits progressivement émoustillés les images de plaisirs pervers et défendus. Et ils savaient alors deviner à leurs yeux brillants celles qui se laisseraient tenter de franchir le pas, encore un peu hésitantes, mais en fait déjà submergées par de très lubriques pensées, et ils étaient presque persuadés qu’elles en mouillaient leur culotte ...