Ce que veulent les femmes
Datte: 04/11/2018,
Catégories:
fh,
grosseins,
fdanus,
... petit bateau d’avance. C’était alors la promesse de véritables feux d’artifice, dont ils ont gardé quelques grands souvenirs. Antoine soupira de plaisir. Maintenant il y avait Juliette. Il tenait à elle comme à la prunelle de ses yeux, et c’était une amante extraordinaire. Il n’avait jamais eu avec elle que l’envie d’elle. De sa beauté et de la sensualité de son corps, de son imagination perverse et débridée, et de son plaisir sans cesse renouvelé de faire l’amour. Ils étaient loin d’être rassasiés l’un de l’autre, sachant multiplier positions et situations, bien persuadés de pouvoir les combiner à l’infini. Allongée contre lui, Juliette l’embrassait dans le cou et sa main descendait lentement vers la région où tout homme aime qu’une femme le caresse. Il se laissa bercer par la douceur de sa caresse tout en savourant la chaleur et le poids de ses très gros seins, l’un contre son flanc l’autre contre son torse, à la fois merveilleux témoignages de féminité et de langueur, mais aussi - Juliette savait cela - appels terriblement troublants à la luxure et la perversité. Le sexe d’Antoine avait pris les proportions qu’elle aimait et elle voyait avec volupté sa main coulisser le long du membre gonflé. Antoine l’encourageait en lui susurrant des mots cochons à l’oreille et il lui caressait les fesses. Juliette reconnut les sensations de plaisir et de désir qui se diffusaient dans son sexe et à la surface de ses seins, et comme à chaque fois elle fut envahie par une irrépressible ...
... envie de débauche. Elle fit onduler sa belle croupe en pressant sa motte poilue et mouillée contre la cuisse d’Antoine. — Ce sont les supposés souvenirs que j’ai avec Marc qui t’excitent comme cela ?— Hmmm, elle me fait mouiller ta grosse bite. Elle est grosse comme la tienne sa queue ?— Ça t’excite de penser à sa queue hein ?— Hmmm, oui, tu vas me baiser, hein, tu vas baiser ta petite salope ? Juliette adorait dire et s’entendre dire des mots cochons et obscènes, cela l’excitait, cela excitait aussi Antoine, et elle le savait. Il se glissa sous elle, l’installant à califourchon au-dessus de lui. Ses seins reposaient contre son torse, lourds et chauds, terriblement sensuels. Juliette se mit à frotter sa chatte contre la queue d’Antoine, faisant glisser le membre entre ses lèvres et contre son clitoris, des testicules jusqu’au gland, le mouillant abondamment de son jus. Antoine l’accompagnait, une main sur chaque fesse, qu’il caressait en de larges mouvements circulaires, les pressant l’une contre l’autre ou à l’inverse les écartant, et là, il s’imaginait son trou plissé offert et cela le faisait bander encore plus. En un léger coup de reins, le sexe Antoine prit goulûment possession de la chatte trempée de Juliette. Celle ci gémit en sentant ce membre gonflé envahir son vagin, la pénétrer doucement et profondément. — Hmm oui, baise-moi bien avec ta grosse bite, tu sais que j’aime ça. Antoine entreprit de lents mouvements de va-et-vient en faisant ressortir à chaque fois son ...