Ce que veulent les femmes
Datte: 04/11/2018,
Catégories:
fh,
grosseins,
fdanus,
... membre pour mieux reprendre Juliette, qui n’attendait que cela et qui poussait à chaque fois un gémissement de plaisir en appuyant bien son clitoris contre le pubis d’Antoine. — Tu es ma grosse cochonne, tu en veux hein ?— Oui j’aime la bite, mon lapin, prends bien ta petite femelle, vas-y, bourre-moi bien, fais du bien à ma belle chatte… Antoine accéléra le mouvement et l’amplifia. — Les coups de queue, c’est ça que tu aimes, hein ?— Oui, baise, j’aime la bite, partout, vas y, ramone-moi bien la chatte, elle est pour toi, pour ta bite, elle aime ça !— Je te la mets comme à une grosse salope, tu en veux hein, des gros glands baveux qui giclent ?— Oui, j’en veux, oui, défonce bien la moule de ta salope, ah, oui, bourre ta femelle en chaleur, salaud, elle est bonne ta pine ! Juliette s’était relevée pour qu’Antoine puisse admirer ses énormes seins. Elle le regardait avec perversité, la bouche entrouverte, et laissait échapper entre deux injonctions obscènes des gémissements aux tonalités lubriques qui décuplaient le plaisir d’Antoine. Ralentissant le rythme, mais la pénétrant toujours aussi profondément, il glissa une main entre ses fesses et lui caressa son petit trou d’un mouvement circulaire. Très rapidement il y enfonça deux doigts. — Tu aimes dans le cul aussi, hein ? Juliette poussa un long gémissement de plaisir et s’allongea sur Antoine pour aider sa caresse. — Oui, j’en veux là aussi, une grosse bite ! lui susurra-t-elle dans l’oreille. Antoine lui donna un grand coup ...
... de queue en s’enfonçant plus profondément là aussi, et il se mit à la pistonner furieusement. — Tu en veux deux, hein, une dans la chatte, une dans le cul ? gueula-t-il. Les gémissements de Juliette s’amplifièrent et devinrent cris et feulements rauques hachés par les assauts d’Antoine et les injonctions lubriques qu’elle beuglait avec jubilation. — Aaah, oui, oui, deux bites qui me bourrent en même temps, deux queues gonflées, une dans chaque trou, oui, vas-y pine moi bien, j’en veux, bien grosses, bien vicieuses, fuck, pour me baiser comme une grosse cochonne, aah, tu me fais jouir salaud, oui, la moule et le cul, aah, le cul, il te fait bander mon gros cul, baise moi, vas-y, gicle, gicle sur mon cul, karcherise-moi la rondelle, aahh, oui ton foutre sur mon cul de baiseuse, aaaah, oui c’est trop bon ! Antoine partit, foudroyé par un de ses orgasmes retentissants qu’il n’aurait jamais qu’avec Juliette, alors que celle-ci atteignait l’apogée du sien dans un délire de sens et de mots. Enfin, ils s’étreignirent longuement, haletant et transpirants, glissant lentement vers les eaux calmes et bienfaisantes de la détente des corps et des sens, seul le chuintement de leur respiration apaisée venant troubler le silence retrouvé de la chambre. Antoine caressait presque distraitement les seins magnifiques de Juliette – il ne l’aurait pas fait distraitement qu’il se serait remis à bander - et laissait vagabonder son esprit. Heureusement que l’immeuble est bien insonorisé, se dit-il… en ...