1. Les moulins de mon coeur


    Datte: 04/11/2018, Catégories: ff, extracon, Collègues / Travail caférestau, amour, jalousie, Masturbation Oral 69, amourdura,

    ... Bénédicte s’est vite révélée une amante pleine d’initiative. Nous avons fait l’amour avec passion. Après nous être masturbées mutuellement, je me suis glissée entre ses jambes pour lui faire un cunnilingus qui la fit jouir rapidement puis elle me rendit la pareille. Nous nous sommes longuement cajolées avant de nous endormir. Mon réveil sonna et sans réfléchir j’allumai aussitôt. Bénédicte était enfouie sous la couette qu’elle avait remontée jusqu’à son nez. — Tu as dois me prendre pour une vraie gourde, me dit-elle.— Non mais j’aurais été très déçue si tu n’étais pas venue. Je me suis levée, elle s’est assise sur le bord du lit, toujours cachée derrière la couette. Je ne voyais que ses pieds, ses mollets et tout ce qui se trouvait au-dessus de la ligne de ses épaules. Je m’approchai, ôtai la couette et la pris par les mains pour qu’elle se lève et se montre à moi. C’est ainsi que j’ai découvert son corps dans la lumière pour la première fois. Je l’ai examinée attentivement. — Ne me regarde pas comme ça, j’ai honte.— Il n’y a pas de raison. Tu me plais beaucoup, lui ai-je dit en l’embrassant.— Merci ! répondit-elle. La grève des transports se prolongeait et, bien sûr, Bénédicte est restée chez moi. Ce soir-là, nous sommes allées ensemble faire quelques courses au centre commercial du coin. Elle s’est acheté quelques affaires : brosse à dents, culottes… Ensuite elle a prévenu ses parents qu’elle restait chez une copine jusqu’au week-end. Nous-nous sommes tout de suite bien ...
    ... entendues. Notre relation a vite évolué. Le vendredi la grève a pris fin mais Bénédicte est restée chez moi. Je lui ai prêté ma voiture pour aller chez ses parents. Le soir elle en a ramené deux sacs d’habits. Nous étions devenues un couple. Ceci a été « officialisé » la semaine suivante quand elle m’a présentée à ses parents comme sa « nouvelle amie ». C’étaient des gens charmants. Ils avaient eu Bénédicte sur le tard alors qu’ils avaient déjà deux grands fils. Le fait que leur petite dernière vive en couple avec une autre fille ne leur posait visiblement aucun problème. Ils me remerciaient souvent de l’héberger. J’ai eu beau essayer de leur faire comprendre que je « n’hébergeais » pas Bénédicte mais que je « vivais avec » Bénédicte, ils ne saisirent jamais la nuance. Son père, boucher en retraite, au teint rougeaud et à la voix forte, croyant sans doute me faire un compliment, disait de temps en temps sur un ton péremptoire qu’il était « bien content » parce que moi, « au moins » j’étais « quelqu’un de bien ». Cette remarque provoquait toujours de la gêne et Bénédicte me disait simplement de ne pas faire attention, qu’elle m’expliquerait ; ce qu’elle ne fit jamais vraiment, se contentant de me dire que son ex s’était mal comportée avec eux. Il m’a fallu expliquer à Bénédicte que, ma famille étant nettement moins ouverte que la sienne, il n’était pas envisageable que je la présente à mon tour à mes parents. Tout cela est arrivé, il y a un peu moins d’un an. Aujourd’hui je sais ...
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