Les moulins de mon coeur
Datte: 04/11/2018,
Catégories:
ff,
extracon,
Collègues / Travail
caférestau,
amour,
jalousie,
Masturbation
Oral
69,
amourdura,
... marque de son magasin dont j’ai reconnu le style : une jupe de tailleur courte et noire fendue à l’arrière et un chemisier blanc très cintré qui lui allait à la perfection et dont le col ouvert laissait entrevoir quelques petits festons de dentelle noire de son soutien-gorge. Elle était chaussée d’escarpins noirs dont la pointe, ouverte, laissait voir un orteil parfaitement verni. Elle me semble un peu plus grande que moi mais c’est peut-être une impression due au fait qu’elle était en talons et moi en chaussures plates. Je pense aux ballerines noires à boucles, au jean un peu délavé et à la veste saharienne marron que je porte aujourd’hui, et je regrette qu’elle m’ait vue dans cette tenue passe-partout et asexuée de prof de banlieue. De folles pensées s’emparent de moi. Je m’imagine avec cette belle femme, dans mon lit, faisant passionnément l’amour… lui donnant du plaisir… en recevant d’elle… Je pense encore à elle pendant tout le temps que je passe à ranger mes courses. Pour chasser ces pensées, je décide de me rendre au collège à pied. Avant de gagner ma salle de classe, je passe voir Bénédicte à son bureau. Une élève en sort quand j’arrive et me regarde comme si j’étais une bête curieuse. Auprès des profs, notre couple ne fait plus trop cancaner mais chez les élèves, c’est loin d’être le cas. Bénédicte me demande si ça c’est bien passé et si j’ai acheté du chocolat. Je la rassure sur ces deux points et je commence à lui parler de la jolie robe. La sonnerie de onze ...
... heures m’empêche de finir ma description ; il est temps que j’aille en cours. Le repas de midi me donne l’occasion de reparler de la robe. Bénédicte ne s’y intéresse pas beaucoup. Ni elle ni moi n’avons de réels points communs avec les filles des magazines mais ma taille, un peu plus haute que la sienne, et mon passé d’adolescente maigrichonne me permettent aujourd’hui d’avoir la ligne. J’ai les yeux marron, les cheveux châtains clairs qui arrivent à la hauteur de mes épaules et qui ondulent légèrement. Quand je travaille, je choisis toujours mes tenues de façon à éviter tout ce qui pourrait être interprété comme provocant – même si peu que ce soit. En revanche, par goût et par réaction, en dehors du boulot, je mets toujours en valeur ma féminité. Je sais que Bénédicte apprécie. Jusqu’à notre rencontre elle s’habillait toujours de façon à masquer ses hanches. C’est pour cette raison qu’elle cherchait à attirer les regards sur sa poitrine. En dehors de ses jeans, elle ne possédait que deux jupes, longues et amples. Elle n’avait jamais eu de minijupe. J’ai dû insister mais elle avait fini par en acheter, en jean d’abord, pour porter l’été en dehors du boulot, puis plus sophistiquées. Je lui ai expliqué ce que ça avait de sexy et j’ai insisté sur le fait que ça allait bien avec la façon dont elle met sa poitrine en valeur. Je l’ai vue évoluer petit à petit vers plus de féminité. Cela me plaisait mais le plus important à mes yeux était que cela lui plaise à elle. Je fus ravie le jour ...