L'escadron volant de Catherine
Datte: 04/11/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
enceinte,
amour,
humilié(e),
jalousie,
pied,
portrait,
historiqu,
... sa couche. Soucieux de plaire à Isabelle. Il rassembla donc une armée, et surtout son artillerie. Pendant l’automne 1563 il canonna hardiment la ville, de telle sorte que les Anglo-Saxons plièrent bagage sans espoir de retour. Comme quoi, de jolis yeux couleur pervenche peuvent provoquer de forts honnêtes carnages ! Son « exploit » militaire accompli, le prince de Condé rentra à Paris, bien décidé à faire tenir les engagements dont on l’avait bercé. Pendant ces mois d’absence, la belle avait enquêté et pris ses renseignements. Certes, Florimont disposait d’une belle fortune, mais bien plus modeste que celle de Louis. Tandis que l’un n’émargeait qu’en tant que ministre, l’autre se prévalait du rang de prince du sang et de pair de France. Le prince était marié, mais Isabelle apprit qu’Éléonore était de santé fragile et que sa nouvelle grossesse se présentait très mal… Tous les espoirs restaient permis ! Quand le héros, auréolé des lauriers de la victoire, rejoignit la cour, Isabelle était tout à fait motivée pour lui ouvrir sa couche, et bien sûr ses cuisses. L’homme avait été fortement tancé par ses amis protestants ; il n’en avait cure : seule importait la douce peau de la demoiselle. Celle-ci, en femme décidée, avait organisé un dîner coquin en marge de la réception officielle qui devait encenser le guerrier. Il y flottait une atmosphère voluptueuse de boudoir. Des mets et des vins fins – et surtout une femme languide – érotisaient la situation. Quand Louis se présenta à ...
... l’appartement de la belle, il la trouva à demi allongée sur un sofa et le sourire engageant. Déchaussée, ses petits pieds mutins dépassaient des dentelles de sa robe. Cela peut paraître anodin de nos jours mais, à cette époque, cela atteignait au comble de l’indécence et de l’érotisme. En bon stratège il évalua la situation et échafauda rapidement son plan d’attaque. Louis tomba à genoux, prit les mains de l’espérée amante et les baisa avec fougue. La demoiselle ne fit rien pour le retenir. Quand la main de l’homme se fit plus téméraire, elle se pâma et se laissa explorer. Cette main audacieuse, comme une avant-garde, se posa sur ce joli petit pied gainé de soie, poursuivit son exploration le long du mollet puis de la cuisse et ne s’arrêta même pas sur la jarretière. Une fois la peau nue de la cuisse atteinte, elle partit à la recherche de l’antre, du donjon, du sérail, et trouva. Cette habile diversion favorisa une attaque plus directe en direction de la gorge qui fut submergée de baisers. La deuxième main, profitant de la manœuvre, assaillit un sein et en prit possession. Elle caressa, elle malaxa tant et si bien que la dame, prête à se rendre, remonta sa robe et ouvrit ses cuisses. Le chef de guerre porta l’estocade ; il fallait faire parler l’artillerie – qui d’ailleurs pointait depuis longtemps – et obtenir la reddition. Il s’installa entre les jambes d’Isabelle et tira les premières salves. La suite pourrait être comparée à une chevauchée furieuse où chacun, à tour de ...