La Muse (21)
Datte: 04/11/2018,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
... Georges profita du spectacle du bas de nos fesses : notre manteau court remonta suffisamment haut pour que notre maître soit ravi du spectacle. Quant à moi, de terribles picotements d’excitation commencèrent à se faire sentir ; mon bas-ventre vibrait d’envie. Une secousse, et le train se mit en marche. Caro et moi étions surexcitées par ce voyage : nous allions à Paris voir des artistes ! Le prochain arrêt était Dijon, ce qui me laissait le temps d’interroger Georges. — Maître Georges, vous avez le programme du séjour ? Il faudrait que nous soyons un peu au courant afin de prévoir nos tenues. — Tu as raison, Jennifer. Je voulais vous en faire la surprise mais il vaut mieux que vous soyez un peu au courant ; alors voilà. Il sortit une feuille sur laquelle des notes gribouillées au crayon étaient censées être le planning du week-end et me la donna. – Arrivée gare de Lyon 12 h 50 => buffet de la gare => hôtel. – Métro => visite du salon du livre érotique. – Soir : repas au restaurant du salon. Tenues sexy pour les filles ? – Samedi : dédicaces et interview pour la télé. Les filles... nues ? – Midi : grand repas. Il va y avoir du monde et de la concurrence : tenues à voir avec les filles. – Soirée : salon de l’art érotique. — Voilà le programme. Pour les tenues, je vous laisse libres ; il y a juste le repas de samedi midi : il faudrait que vous soyez éblouissantes, nous dit-il. — Ah, c’est là où il va y avoir de la concurrence ? — Oui, et là je ne sais vraiment pas ce que vous ...
... pourriez mettre. — Rien. Tout simplement rien, repris-je. — Tu es folle ? — Non : muse. — Je vous laisse décider de tout. — D’accord, acquiesça Caro. Georges était absorbé ; comme souvent, il prenait des notes pour de futurs romans. De temps en temps il levait les yeux vers nous, souriait et replongeait dans son carnet. Caro et moi, planning en main, étions en pleine méditation à voix basse sur ce que nous allions nous mettre pour les différentes étapes de ce séjour. Le train ralentit et s’arrêta : nous étions en gare de Dijon. Lorsque le train repartit, la porte du compartiment s’ouvrit et un homme, la quarantaine, entra, nous salua et s’installa en face de moi. Caro et moi replongeâmes dans nos réflexions. Un regard coquin entre nous ; je pris sa main posée sur sa cuisse et la fis glisser doucement vers l’extérieur de sa jambe, emportant ainsi le pan de son trench. Je sentais le regard de l’homme posé sur nous, celui du mateur parfait. Je chuchotai à Caro : — Le mec est en train de nous mater. On joue ? — D’accord. On fait quoi ? On montre un peu et on se caresse ? Regarde Georges, il a remarqué le mec ; amusons-le. Georges me regardait du coin de l’œil. Un regard malicieux, un bout de langue juste passé sur mes lèvres et une lèvre un peu mordillée, sorte de message coquin et allumeur. Georges avait compris. Je changeai de position. En croisant les jambes, mon trench s’ouvrit. Comme j’avais défait le dernier bouton, la totalité de ma jambe se retrouva dénudée jusqu’à la fesse ...