Les lumieres de Londres
Datte: 05/11/2018,
Catégories:
fh,
hotel,
douche,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
préservati,
pénétratio,
fdanus,
journal,
occasion,
... doucement je suis descendue sur mon ventre, j’ai glissé jusqu’à mes cuisses en évitant ma fourche avant de revenir sur le contour de mes lèvres. Puis tout s’est accéléré, les jambes ouvertes et posées sur le rebord de la baignoire, je me suis masturbée jusqu’à me faire jouir, titillant mon bouton, enfonçant mes doigts au plus profond de moi, et flirtant avec mon « étoile » par moment. Alex emplissait mes pensées. Je suis sortie de ce bain épuisée mais si comblée. Il est maintenant tard. Je vais me coucher. Extrait du journal d’Éloïse : dimanche 24 mai Je suis épuisée de ma journée. J’ai joué au golf avec Flore ce matin et nous avons ensuite déjeuné là-bas. Elle m’a trouvée plus enjouée que ces derniers temps ! Je ne lui ai pas dit ce qui me mettait de bonne humeur. En fin d’après-midi, j’ai préparé ma valise. Ça y est … Extrait du journal d’Éloïse : lundi 25 & mardi 26 mai Lundi a été une longue journée ! J’ai embarqué vers Londres à bord de l’Eurostar. La routine des voyageurs est toujours la même : certains lisent leur journal, d’autres ont ouvert ordinateur portable ou smartphone. Moi, comme toujours, je dors ; enfin je somnole. Je ne suis pas une matinale. Il a fallu me lever à 5 h pour prendre un taxi à 6 h ; douche rapide, j’ai choisi mon body, jamais étrenné, et les bas au cas où Alex me saute dessus à mon arrivée chez lui le soir ; enfilage express de ma nouvelle jupe, de mes escarpins. 7 h 40. Impossible de se reposer. Pipelette à côté de moi ne lâche pas son ...
... téléphone. Ça y est, je suis à bout. Déjà qu’en deuxième classe, la proximité est de mise avec son voisin. Moi : Excusez-moi, ça fait vingt minutes que l’on supporte vos conversations. Vous ne pouvez pas aller à l’extérieur du wagon pour téléphoner ? Lui : Pardon, oui… euh… je n’ai pas fait attention. 8 h. Je me décide à relire les différents documents pour le travail. Malgré ma concentration, je sens le regard de mon voisin qui se porte sur mon écran. Moi : Je vous dérange peut-être pour lire ? Lui : Non pas du tout. Et je ne lisais pas. Moi : Et vous faisiez quoi, la tête tournée vers mon écran ? Lui : Pas votre écran, j’admirais juste vos jambes. Moi : … Ne vous… Faut pas vous gêner ! Le rouge m’est monté jusqu’aux oreilles quand j’ai vu que ma jupe laissait apparaître la lisière de mes bas. Je m’empresse de la remettre en place. Lui : Je vous présente mes excuses, je n’ai pas pu résister. Moi : Bon … bon … Puis il se présente. Lucas. Un parisien qui, comme moi, part quelques jours à la City. Enfin pas tout à fait comme moi, je lui donne la quarantaine malgré son corps svelte et son visage dépourvu de la moindre ridule. Et la conversation embraye sur le quotidien. Moi, je remarque plus son parfum frais et légèrement citronné qui me chatouille les narines, ses lèvres qui s’agitent quand il parle, ses cheveux coiffés impeccablement. Je rangé mon iPad, referme la tablette. À ce moment-là, encore une fois son regard se pose sur mes jambes. Bêtement, nous nous sourions. Légèrement ...