Gavage dans le garage (2)
Datte: 06/11/2018,
Catégories:
Trash,
Une petite gifle sur son sein droit la sortit de ses pensées. Elle n’avait pas vu M. Jacques franchir les quelques mètres qui les séparaient, toute à ses réflexions sur ses relations amoureuses passées. Il était maintenant accroupi devant elle, les avant-bras posés sur ses cuisses, et la regardait en souriant. « -C’était pas mal, du moins pour une ancienne grande salope comme vous. Vous pompez toujours comme toute femme devrait le faire, et cet embonpoint maternel vous va à ravir. En revanche vous étiez un peu plus prompte à l’exécution dans votre jeunesse Madame Clayrac, plus reconnaissante et aussi plus disciplinée… » Avait-il ajouté en fixant la main qu’elle gardait encore enfouie entre ses cuisses serrées. Elle avait tout de suite compris où il voulait en venir et elle se préparait à s’éclaircir la gorge, dans une manœuvre dilatoire pour balbutier un petit « Merci, monsieur » contraint, suivie d’une réplique appropriée. Mais il avait poursuivi en se demandant ce que pouvait bien faire son époux, pour qu’elle se croie autorisée à se tripoter et à jouir avant qu’on ne l’y ait autorisée. Et pour qu’en plus qu’elle se permette de ne pas remercier celui qui lui avait néanmoins permis de prendre son pied. Puis il avait ajouté : « Je crois bien qu’il va falloir que je lui en touche deux mots, que vous appreniez à obéir et à vous secouer un peu ! » Et il s’était redressé pour observer Candys avec un air agacé. En entendant ses mots, elle avait relevé la tête vers lui et ; quand ...
... elle avait cru reconnaitre une certaine lueur familière brillant dans ses yeux, ses lèvres s’étaient mises à trembler. Ramenée à la réalité, elle se rendit brusquement compte du péril dans lequel elle se trouvait, en petite tenue, et ruisselante de sperme, avachie aux pieds d’un quasi inconnu. Ses yeux écarquillés exprimaient toute la détresse venue brusquement s’emparer d’elle à l’idée qu’elle venait, peut-être, de sacrifier ce qu’elle avait mis tant de temps à édifier ; pour quelques minutes de plaisirs débauchés. Assise contre la voiture de son mari, elle sentait lefoutre lui perler le long du visage, le collier canin lui enserrer le cou, la culpabilité l’envahir et son estomac se nouer à l’idée de ce qu’elle venait de faire. Et de ce qui l’attendait. Elle avait alors lentement retiré sa main de son entrecuisse et baissé la tête, prête à fondre en larmes. « -Allons, allons Miss, avait repris celui qui, seulement quelques instants auparavant, s’était répandu sur elle, plus de cela entre nous. Nous n’en sommes plus là, et depuis treize bonnes années maintenant. Et ça, vous devriez le savoir. Je n’ai plus besoin de vous menacer pour que vous me suiviez, et vous le savez très bien. Vous vous êtes vous-même attaché le collier. Vous vous êtes vous-même finie à la main et vous avez-vous-même insisté pour vous étouffer sur mon phallus. Encore un peu et je transformais vos grosses fesses toutes flasques en vide-couilles ! » Candys déglutit en l’entendant employer un langage aussi ...