1. Gavage dans le garage (2)


    Datte: 06/11/2018, Catégories: Trash,

    ... grossier ; il avait particulièrement insisté sur le fait qu’elle avait elle-même voulu tout ce qui venait de se passer. Et Il avait parfaitement raison, et elle le savait. Son cerveau réagit au mot « vide-couilles » en faisant remonter leur rencontre « fortuite », d’il y avait à peine un mois, à sa mémoire. Elle avait eu un flash et s’était revue, l’espace d’un court instant, dans lestoilettes du petit restaurant japonais où elle prenait de temps à autre sa pause-déjeuner. Accrochée tant bien que mal à l’un des urinoirs des toilettes de l’établissement, écarquillant des yeux embués de larmes chaque fois que Monsieur Jacques, d’un coup de rein puissant, lui avait ramoné le fondement sans pitié aucune, elle avait tenté, sans succès, de ne pas jouir par le cul sur le carrelage des toilettes en éclatant en sanglots. Mais, bien sûr, ça avait été peine perdue : elle avait effectivement fini l’anus béant et l’arrière-train assez garni de lasemence d’un homme qu’elle n’avait pas revu depuis une décennie, pour qu’elle aille proposer ses services à une banque de sperme. En se rappelant la douleur et le plaisir qu’elle avait ressentis, son ventre se noua de nouveau et elle se demanda si elle n’avait pleuré qu’à cause des remords qu’elle éprouvait, à prendre tant de plaisir à tromper son mari, en se faisant sodomiser par un autre homme que lui. Ou, si elle avait fondu en larmes, parce qu’elle avait tout simplement pris un pied terrible. Mais Monsieur Jacques continuait : -« … C’est ce ...
    ... que vous êtes, acceptez le. Il est grand temps maintenant. Hum…Alors bon…Je crois qu’on peut dire que je suis dans votre garage à euh… (il avait regardé sa montre)…à deux heures et demie du matin, avec AU MOINS votre consentement…afin vous soyez, juste pour ce soir, ce que vous ne pouvez plus être, compte tenu de de votre statut social et matrimonial… Et rien d’autre… mmmh, ne vous méprenez pas. » Candys hocha doucement la tête en guise d’assentiment. «- Disons, si ça peut vous rassurer…euhh… que nous sommes justes …hum… de vieux amis mmmh… De vieux amis qui fêtons ensemble nos retrouvailles décennales de façon certes un peu…voyons hum… licencieuse…et secrète…mais tellement agréable. » Sa main avait saisi la laisse d’un mouvement très coulant, presque machinalement, tandis qu’il continuait à parler. Candys, elle, avait recommencé à se détendre un peu et buvait désormais ses paroles. « -Et puis, comme on dit ici : Sa zyé pa vwè, kè pa’a fè mal, n’est-ce-pas ? Avait-il continué en lâchant négligemment la laisse, tout sourire, pour se redresser de tout son mètre quatre-vingts. Du créole, se dit Candys de plus en plus apaisée, M. Jacques lui parlait créole maintenant. « -Encore que je sois bien tenté de sortir votre instituteur de son lit pour vous voir vous expliquer et justifier votre conduite… mmhh ? avait-il marmonné comme s’il se parlait à lui-même, tout en la regardant de haut. » A ces mots Candys avait senti tous les muscles de son corps se tendre violemment. Mais, acculée ...
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