1. Démarchage


    Datte: 06/11/2018, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, humilié(e), cérébral, chaussures, Masturbation nopéné, sm, init,

    ... collègues ait un client et que vous ne puissiez plus profiter de cette offre (incroyable !)… J’aurais donc besoin d’une réponse le plus vite possible… C’est le moment de la pirouette. — Eh bien je vais exposer votre offre à mon partenaire et je vous rappelle ensuite pour vous donner notre réponse. Toujours fuir, ne pas affronter un commercial de front, c’est une de mes règles. — Très bien, par contre, il me faudrait la réponse avant la fin de semaine. Ça ne laisse plus qu’un jour. — Je fais au plus vite alors. Poignée de main et fuite. Petite précision, ma société est actuellement en faillite… donc les offres extraordinaires ne m’emballent pas plus que le reste… Le lendemain, le téléphone sonne… — Mr Frodet… Corine !— …Ah oui, j’allais vous appeler…— Vous avez pu en parler à votre partenaire alors ?— Oui, tout à fait… Mais il ne semble pas intéressé du tout… Je vais donc devoir décliner votre offre… Je suis désolé. Grosse déception à l’autre bout du fil, puis un ton changeant. — Pourrions-nous malgré tout nous revoir ? J’aurais quelques petites questions à vous poser sur les produits que vous proposez… Ça alors, je refuse son offre et elle me propose un partenariat ? — Eh bien… je…— Juste dix minutes… Cet après-midi…— J’ai un créneau, d’accord… 14h00. Cette fois, je suis à l’heure. Corine est habillée de la même façon mais me regarde avec un regard plus profond… — En fait, voilà… Elle commence à se lever et passe derrière moi. — …Je vous propose un accord un peu spécial… ...
    ... J’entends la porte se fermer, puis son corps se rapproche implacablement de moi… — …Vous acceptez notre offre et je vous fais passer un moment inoubliable… La voilà qui passe ses mains sur mon torse et pose ses lèvres sur mon cou. La chaleur qui m’envahit est si soudaine que je reste pétrifié, la respiration saccadée. Je parviens enfin à répondre : — Je… je ne pense pas pouvoir accepter cette offre… L’hésitation plus mon air d’adolescent timide ne démontrent pas vraiment ma détermination. Malgré tout, elle se retire et se rassoit en face de moi, jambes croisées, sûre d’elle, l’air malicieux… En comparaison, je suis complètement liquéfié, rouge comme une pivoine n’arrivant guère à soutenir son regard… — Je vois, dit-elle d’un ton qui n’engage rien de bon pour moi. Alors, je vais reformuler… Tu vas accepter mon offre gentiment… À ce moment, unNon ! Ferme aurait été de rigueur… Moi, je n’ose répondre, pétrifié et excité comme un fou par le tutoiement soudain… Mon absence de réaction l’amuse et la conforte encore plus dans ce qu’elle semble avoir deviné. — Je répète une dernière fois… Accepte docilement ! Le ton, là, est indubitablement plus ferme. — Tu commences à me faire perdre mon temps petit con, déshabille-toi ! Mon regard qui était scotché à la moquette se relève brusquement vers elle, à l’écoute de cet ordre… Mais qu’est-ce que c’est que ce délire… Les yeux que je rencontre alors me transpercent… Ma fierté, ma volonté vacillent, je me sens rétrécir, devenir insignifiant… ...