1. Démarchage


    Datte: 06/11/2018, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, humilié(e), cérébral, chaussures, Masturbation nopéné, sm, init,

    ... !— Oui Madame, pardonnez-moi, Madame.— J’espère bien que tu vas tout faire pour ça… Comme je suis trop généreuse avec toi, viens te branler contre ma jambe, comme la chienne que tu es désormais. Je la regarde, hésitant, trop respectueux de sa jambe peut-être… Mais elle me fait signe de venir sur sa jambe moulée dans son pantalon noir. Alors, je viens me placer, accroupi sur mes pieds, sa jambe entre les deux miennes et mes bras agrippés à son mollet. Comme un chien en rut, je me frotte contre la jambe de ma Maîtresse… C’est si humiliant, si déshonorant, mais si agréable, si jouissif… Pendant ce temps-là, elle ne fait même plus attention à moi, je suis devenu plus insignifiant qu’un chien, elle note des informations sur un cahier et moi je lui suis si soumis… J’aurais tout fait pour elle… Enfin je jouis… C’est une jouissance incroyable… Mon sperme se répand sur le noir de son pantalon et je me laisse retomber à genoux, épuisé et hagard… Elle baisse alors les yeux vers moi sans trop d’intérêt et me dit juste : — Lèche tout. Puis elle retourne à ses écritures. Une fois le plaisir de la jouissance passé, l’excitation retombe assez vite… et l’idée de lécher du sperme n’est pas faite pour m’enthousiasmer… Je reste à genoux devant sa jambe, incapable de prendre une décision quand elle la prend pour moi… — Tu n’es décidément pas un bon chien. Elle semble plus fatiguée qu’énervée en disant cela et me donne un mouchoir pour que je l’essuie. J’avais honte de moi… Non pas pour toutes ...
    ... les bassesses que je viens d’effectuer, mais pour avoir tant déçu ma Maîtresse… C’est un sentiment si douloureux… sourd… — Je suis désolé, Madame… J’ai si honte de ne pas être à la hauteur… Je vous assure pourtant que je désire réellement vous servir le mieux possible…— Tu n’es pas capable de m’obéir convenablement… Je vais peut-être devoir songer à me séparer de toi… Tu ne m’apportes rien. Ses paroles me serrent le cœur… La simple idée de ne plus la revoir me terrorise. — Tu peux t’en aller maintenant… Allez, dégage, petite merde. La sentence est implacable… Je suis congédié, je ne la reverrai sûrement jamais. Je suis là, nu, un mouchoir plein de sperme à la main et je la regarde les yeux embués de larmes. — Je suis désolé. Je semble vraiment misérable à ne pouvoir aligner que cette phrase. — Madame, je vous en supplie, donnez-moi une autre chance… Je serai un bon chien, le meilleur chien, je vous suis entièrement soumis… Je ferai tout ce que vous voulez. À ce moment-là, elle s’arrête d’écrire et tourne la tête vers moi, elle me regarde sans dire un mot pendant un temps qui me semble une éternité, puis elle dit : — Très bien, dans ce cas, je te recontacterai peut-être, mais n’oublie jamais ce que tu viens de dire… Tu feras tout ce que je désire cette fois. J’étais encore une fois tombé dans son piège vicieux… Tout ce stratagème, le détachement à mon égard, la menace de ne plus la voir, tout cela m’a amené à lui jurer soumission… Lorsque je sors du bureau, sans que ma Maîtresse ...