1. Démarchage


    Datte: 06/11/2018, Catégories: fh, inconnu, Collègues / Travail hsoumis, fdomine, humilié(e), cérébral, chaussures, Masturbation nopéné, sm, init,

    ... alors qu’elle prend une allure hautaine, la stature d’une reine à qui l’on doit prêter allégeance. — Tu as trente secondes. Et là, je m’abandonne, je me lève et, sous son regard dominateur, j’enlève mon pull, mon t-shirt, les yeux cloués au sol, redoutant de la voir se moquer de moi, je descends mon pantalon. — Très bien, allez, enlève-moi tout ! Mon slip rejoint le reste des affaires à mes pieds, je suis nu comme au premier jour… — Maintenant, à quatre pattes et viens à mes pieds. Comme hypnotisé, j’avance vers elle. — Regarde-moi ! Je relève les yeux difficilement et là je la vois, si impressionnante, elle plante son regard dans le mien, elle me soumet rien que par les yeux… c’est un combat perdu d’avance pour moi. — Voilà, dit-elle avec un petit sourire. Et elle me colle la semelle de sa chaussure sur le visage. — Tu es mon chien, compris ! Désormais, tu vas m’obéir et m’appeler Madame… La semelle frotte contre mon visage, je ferme les yeux, mes lèvres sont entrouvertes par sa chaussure qui descend le long de ma bouche, comme si elle voulait me faire prêter serment à ce moment-là de ma soumission… — …Oui, Madame. C’était fait, pas plus long que ça… Je me suis soumis à une femme en un temps record… Rien, à y réfléchir, ne peut encore me donner l’impression que je possède de la virilité ou de la fierté… Un honneur ? J’en doute, et je suppose que c’est ce qu’elle désirait… que j’assiste à l’effondrement de mes valeurs masculines… que je devienne son chien, son objet… En ...
    ... arrêtant l’essuyage de son pied, elle prend un ton plus doucereux mais toujours teinté de moquerie. — Eh bien voilà, c’était pas si dur… Allez petit chien, tu vas signer maintenant le contrat parce que c’est ce que je veux, d’accord… ? Elle passe son pied entre mes jambes et commence à me caresser le sexe qui gonfle immédiatement, me révélant à quel point elle a pris le contrôle de mon corps. Mais là, j’ai un sursaut de lucidité et j’ose lui avouer que ma société ainsi que moi-même n’avons pas le moindre argent… La douleur qui se fait ressentir à cet instant brouille ma vue, je m’effondre sur la moquette, nu à ses pieds, ce même pied qui venait de me frapper les bourses sans aucune retenue. Sa colère est réelle, elle devine qu’elle s’est fait avoir, qu’elle a perdu son temps avec une misérable petite larve fauchée. Toutes ses pensées étant dites à haute voix pendant qu’elle tourne dans la pièce me frappant régulièrement avec ses chaussures. Moi, pauvre masse roulée en boule au sol, encore sous la douleur lancinante qui part de mes bourses et se rependait dans tout mon corps. Enfin, elle se rassied, les jambes écartées, les mains sur ses genoux, et se penche légèrement pour me parler. — Relève-toi, petite salope… À quatre pattes, j’ai dit ! Je tente tant bien que mal de me mettre sur les genoux et de faire tenir mes bras au sol. — Tu vas devoir te faire pardonner pour tout ça, salope… Tu vas me rendre fière de toi, être une bonne petite chienne bien obéissante, c’est bien compris ...