Au plaisir de Sonia
Datte: 06/11/2018,
Catégories:
fh,
couple,
couplus,
extracon,
extraoffre,
cocus,
uniforme,
poilu(e)s,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
Oral
fgode,
pénétratio,
fsodo,
... presque tous les jours, et même après de dix ans de mariage cela n’avait pas beaucoup changé. Malgré un physique assez ingrat, Sonia a toujours été ce qu’on appelle un bon coup. Question beauté, j’aurais sans doute pu trouver cent fois mieux, car elle n’a vraiment rien d’extraordinaire mais, question bagatelle, c’était vraiment le top du top ! Je lui ai toujours été fidèle et je pense qu’elle aussi, de son côté, ne m’a jamais vraiment trompé. Elle m’apprit, beaucoup plus tard, qu’il fut une époque où un de ses collègues la poursuivait de ses assiduités. Elle avait fini par y succomber et ils s’étaient bécotés plusieurs fois dans les vestiaires, mais ça s’était arrêté là et le gendarme dragueur avait été muté ailleurs. Je lui avais pardonné cette incartade. Après tout, il m’était bien arrivé à moi aussi de pincer les fesses d’une fille facile dans un bistrot ! Le plus grand désespoir de mon épouse, c’est probablement celui de n’avoir jamais eu d’enfant. Une malformation congénitale l’empêchait d’en avoir. Certes, nous aurions pu en adopter, nous avions même entamé des démarches en ce sens. Pourquoi est-ce que ça ne s’est pas fait ? Nous n’étions peut-être pas assez tenaces, mais d’un autre côté nous étions déjà très heureux tous les deux. Au moment de l’accident, nous faisions encore l’amour quatre ou cinq fois par semaine, une fréquence très largement au-dessus de la moyenne. Pour ma belle, c’était un besoin vital de se faire du bien et, pour moi, un réel plaisir de ...
... satisfaire une femme aussi insatiable. Nous avions évidemment tout essayé, tout ce qu’il est possible de faire à deux, au sein d’un couple. Sonia ne détestait pas la sodomie, bien au contraire : c’est souvent elle qui la proposait, et ces séances d’enculage nous procuraient un bonheur intense, elles sublimaient nos rapports amoureux. Quant au plaisir de se faire attacher, ligoter, menotter ou défoncer par une matraque, il était totalement réciproque. Son métier était souvent source d’inspiration pour nos étreintes amoureuses, le mien presque tout autant (j’étais chauffeur routier). Inutile de préciser que nos ébats n’étaient pas cantonnés à la chambre : ils parcouraient la campagne et s’insinuaient dans les lieux publics. * * * J’ai vraiment honte de moi quand je repense à tout ce que je lui ai fait subir pendant ces deux longues années. Suite à mon accident, nous ne faisions plus du tout l’amour, mais, de plus, je ne prenais même plus la peine de m’occuper d’elle, je la laissais totalement à l’abandon. J’avais arrêté de travailler et je passais mes journées à la maison à broyer du noir. Lorsqu’elle rentrait du travail, je lui faisais la vie en m’apitoyant sans arrêt sur mon triste sort. J’étais un bon à rien, un pauvre type, un inutile… En témoignaient les bouteilles vides que je laissais traîner un peu partout et que j’avais de plus l’indécence de lui laisser ramasser. Nos disputes étaient de plus en plus fréquentes et aussi de plus en plus violentes. Tous les prétextes étaient bons ...