1. une cousine autoritaire (2)


    Datte: 08/11/2018, Catégories: Lesbienne

    ... cuisine où le majordome m’attendait. Il désigna l’esclave mâle pour aller nettoyer .« Viens ici toi, mains sur la tête ! »I l se mit à me gifler les seins violemment, rendus déjà très sensibles par le traitement dont ils avaient bénéficiés le matin et par le fait qu’il avait serré les cordes, je gémissais de douleur. Il fit allonger une autre esclave en-dessous de moi et je dus me mettre à genoux. « Tu la lèches mais ne la fait pas jouir ou gare à toi. Quand à toi, ouvres la bouche, tu vas me sucer ! »J ’ouvris la bouche et entrepris de le sucer mais ça ne lui a pas suffi. Il agrippa mes cheveux et tira dessus et enfonça sa queue au fond de ma gorge et décida de me baiser la bouche profondément. J’étais à la limite de l’étouffement lorsqu’il éjacula sur mon visage .« Tu te nettoies et tu retournes faire le service ! » Ma cousine me vit passer et remarquer mes seins gonflés par les cordes et rouges par les gifles reçues, mais elle ne dit rien. Ils passèrent à table et on continua le service. On se faisait tripoter de tous côtés mais on devait faire en sorte de rien renverser. Les autres y arrivaient très bien grâce à l’habitude ce ne fut pas mon cas. Je renversais une assiette. Le majordome arriva, me tira vers l’estrade où je fus attachée sur une croix. Il plaça un vibromasseur sur mon clito et l’y fixa. Il me fallut 5 mn pour jouir la première fois puis après les orgasmes se succédaient. Au bout de 20 mn, je suppliais pour que ça s’arrête. Ma cousine se leva et vint vers ...
    ... moi, le martinet à la main. « Tu me fais honte salope, tu ne sais pas te tenir ni accepter la punition avec philosophie ! » Elle se mit à me fouetter les seins, le ventre et la chatte sans que le vibro ne soit arrêté. J’avais mal mais je continuais à jouir. Elle arrêta de me fouetter lorsque des zébrures apparurent et coupa le vibro. Je fus détacher et allonger au sol, attachée à un anneau avec une courte laisse. Mais je m’en moquais, je ne pouvais pas tenir debout tellement mes jambes tremblées. Une esclave fit tomber un verre, elle fut attachée à ma taille et dus me lécher. Je gémis et essayais d’échapper à sa langue, mon clito n’en pouvant plus mais je fus rappeler à l’ordre par plusieurs coups de martinet. Je finis par crier autant de douleur que de plaisir. Elle fut emmenée et elle dut aller sous la table où elle suça plusieurs invités. Quant à moi, je m’endormais à moitié. Je fus réveillée et tirais vers une table où on m’attacha les jambes bien écartées. Un homme se mit à ouvrir ma chatte et à la doigter, il m’examina sous toutes les coutures « Puisque tu t’endors, on va te tenir éveillée ! » Le majordome plaça une machine à baiser entre mes jambes et la mit en route, je gémis sans discontinuer. J’étais clitoridienne donc je ne pouvais pas jouir comme ça mais mon corps était tellement excité par les orgasmes à répétition, que le plaisir était là sans arrêt. En fin de soirée, malgré l’épuisement, je vis sur l’estrade tous les esclaves qui étaient punis pour une raison ou ...
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