une cousine autoritaire (2)
Datte: 08/11/2018,
Catégories:
Lesbienne
... une autre. L’une d’elle attachée à la croix subissait les orgasmes forcés, les autres devant baisés ou être baisés devant toute l’assistance qui parfois participée quant à moi, on venait régulièrement me titiller le clito pour me forcer à jouir. Je fus enfin détachée et portée à la voiture, je ne pouvais plus marcher tellement j’étais épuisée par le plaisir et les orgasmes. Le majordome nous accompagna pour me porter jusqu’à la chambre. Je m’endormis en les entendant faire l’amour. Le lendemain, ma cousine me laissa tranquille toute la journée, je me levais dans l’après-midi. Je mangeais légèrement et la rejoignis dehors. Elle était allongée et lisait un livre tranquillement. Je me mis à genoux à ses côtés. « Hello, et bien tu as dormi longtemps toi, ça fatigue le plaisir ma cochonne. Ils sont très beaux tes seins avec les couleurs de l’arc-en-ciel » Mes seins étaient effectivement couverts d’hématomes à différents stades (vert, jaune et bleu) sans compter les zébrures rouges. Elle me les massa, je gémissais car ils étaient douloureux mais en même temps c’était bon de se sentir ses caresses. J’entendis un tracteur qui s’arrêta sur le bord du chemin, c’était la première fois que je voyais quelqu’un là. J’y allais à quatre pattes comme ordonné par ma cousine. « Vas voir ce qu’il veut » « Avez-vous besoin de quelque chose Monsieur ? » « Non, je me suis arrêté pour vous regarder et là je vous vois mieux. Qu’est-ce qui vous est arrivé, un accident ? » « Non pas du tout » « Mais ...
... tous ces bleus sur votre poitrine ? Et pourquoi vous déplacez-vous à quatre pattes ?» « J’ai été punie car je me suis mal conduite » « C’est intéressant. La dame a raison, si vous vous conduisez mal, une punition s’impose. Vous avez un joli collier de plus. Attendez une minute » Je le vis prendre un papier dans sa poche ainsi qu’un crayon, il écrivit un message qu’il plia et me donna. «Mets un pied sur le marchepied, vas-y plus haut que je puisse bien voir ta chatte ouverte. Tiens, donnes-lui ce papier et ne le lis pas en route. » rfzrmmhp Je retournais auprès de ma cousine et lui tendis le papier, qu’elle lut. Elle sourit et fit un signe au monsieur qui repartit. Pendant que je discutais avec l’homme, elle avait apporté une bassine pleine d’eau et de glaçons. « Penches-toi en avant et trempes tes nichons dans l’eau glacée ça te fera du bien, et surtout tu n’hésites pas » Je fis ce qu’elle me dit, c’était glacé mais en même temps ça faisait du bien. Pendant ce temps, elle se mit à me fouetter le cul. « Il n’a pas reçu grand-chose hier soir. En plus, tu m’as mis la honte, tu n’es pas fichue de tenir un plateau correctement. Ecartes les jambes plus que ça » Elle en profita pour me fouetter la chatte. Je bougeais le moins possible. Mais ce fut la seule punition du jour en dehors de l’obligation de me déplacer uniquement à 4 pattes et le fait qu’à plusieurs reprises, elle rajouta des glaçons dans la bassine. J’étais frigorifiée et je ne sentais plus mes seins. La journée fut calme, ...