1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1127)


    Datte: 08/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    La Comtesse et son clitoris – Hors-série - Histoire réelle écrite par esclave Hathor (textes romancés par MDE) – (suite) – Tout à coup, en remuant mes mains, je fis tomber le cadenas… - Mélanie ! dis-je doucement - Oui ? - Le cadenas est tombé… - Quoi ? - Je te dis que le cadenas est tombé… je n’ai plus les mains attachées - Merde ! - J’ai défait mes liens des poignets… je me défais des autres… - Tu es folle qu’est-ce que tu fais ? - Tais-toi, tu n’as rien vu, je me sauve d’ici. - Tu es malade, tu n’as aucune chance… Rapidement, me voilà entièrement dégagée de mes liens et bien que mes orteils me faisaient cruellement souffrir, j’allais vers la porte disjointe, fit sauter le crochet la fermant de l’extérieur et me sauva dans la nuit glaciale. Je rasais les murs, évitant toute présence humaine. Après m’être éloignée assez de la propriété, je courus, dans les fourrés, pas sur la route, laissant le plus de distance entre l’endroit que je venais de quitter et moi. J’avais très froid mais m’enfuir me donnait des ailes, tandis que mes orteils me faisaient souffrir de plus en plus. Enfin, une petite cabane en vue… - Non pas la cabane, seul endroit où un homme pouvait venir justement… Me voilà condamnée à rester cachée, mais nue, est-ce que je tiendrai avec ce vent glacial… Je ne pouvais pas en effet, je commençais à grelotter, mes orteils saignaient, j’étais dans de mauvais draps… regrettant même d’être partie en plus, ma disparition serait vite découverte, on viendrait en chasse ...
    ... derrière moi… il fallait que je trouve une solution et très vite… Devant moi, la route droite à perte de vue… tandis que j’étais tapie dans le fossé. A droite et à gauche de la route, la lande à perte de vue, aucun signe de vie, rien, personne… Je savais que je n’étais pas loin de la commune de Montrodat proche de Marvejols, mais quand même quelques dizaines de kilomètres m’en séparaient encore. Je soufflais dans mes mains, recroquevillée mes genoux contre moi tentant de me réchauffer, en vain… Il devenait évident et urgent de trouver très vite une solution. Le jour n’allait pas tarder à se lever… Je m’enfouissais sous des tas de feuilles et sombrai dans le sommeil protégée du vent par un des côtés du fossé dans lequel j’avais pris place et sous la grosse épaisseur de feuilles mortes…. Je fus réveillée de bonne heure par le froid et des aboiements… Immédiatement, je bondis sortant la tête du fossé et je vis, à quelques centaines de mètres de moi, plusieurs hommes avec des chiens, ils me cherchaient peut-être. Immédiatement ne ressentant plus rien, je filais dans le même fossé aussi vite que mes jambes le pouvaient en réfléchissant à comment ils m’avaient retrouvée. Je compris assez vite en voyant les traces de sang laissées par mes orteils, que les chiens me suivaient à la trace. Si le ciel ne me venait pas en aide, j’allais être reprise. Tout en courant je pleurais… J’évaluais la distance me séparant de la meute de chiens et des hommes à 300 mètres quand je vis arriver au bout ...
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