1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1127)


    Datte: 08/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... émettre une raison sensée. Je dois reconnaître que la sœur la plus âgée, tout en étant « autoritaire » me sauvait la vie. Je grelottais malgré le chauffage et la cape, les nerfs peut-être… Alors que je commençais de retrouver espoir, et tant que la route était droite, cela allait finalement pas trop mal pour moi, mais quand nous avons commencé à prendre les virages nous conduisant à Mende, je compris la peur du Gendarme de St Tropez joué par Louis de Funès ramené en sa Gendarmerie par une bonne sœur… Les virages pris n’importe comment, la voiture se balançant en tous sens (une deuche), je commençais à serrer les fesses….. A la sortie d’un virage un peu plus serré que les autres, la voiture avait franchi allègrement l’axe médian de la route, au moment où la voiture de gendarmerie croisée un peu plus tôt, sur le plateau, revenait en sens inverse. Surprise, la sœur conduisant la deuche pila tandis que le gendarme en fit autant. Celui-ci bondit de sa 4L, salua prestement et dit : - Bonjour mes sœurs ! Dites donc, la droite, ça se tient….Vous avez failli risquer l’accident ! - Ne craignez-rien, mon frère, répondit la conductrice, Dieu veille… - Dieu peut-être, enfin… Mais moi si je vous revoie encore une fois dans la même situation, je vous verbalise… Tout en parlant à la sœur, le gendarme regardait sur la banquette arrière… j’avais replié mes jambes le plus possible sous la cape, en montrant le moins possible mon corps, mais mes pieds étaient restés ...
    ... nus, ce que le gendarme vit… - Elle n’a pas l’air bien votre passagère, dit-il ? - Oui, dit la sœur plus âgée, prenant la direction de la discussion, en pinçant le bras de la conductrice qui cria de surprise… Le gendarme surpris du cri de la conductrice lui dit : - Pourquoi criez-vous ma sœur ? - Quelque chose m’a piqué, Monsieur le Gendarme… Le gendarme se releva, remonta son képi sur son crâne, visiblement ne comprenant rien à ce qu’il voyait, - C’est une jeune novice, dit l’ainée des sœurs me désignant, qui veut faire vœu de pauvreté… et de pénitence… voilà pourquoi elle est pieds nus… Le gendarme, visiblement dépassé nous laissa finalement repartir non sans menacer fortement la sœur conductrice, la prochaine fois ce serai une verbalisation en cas d’irrespect au code de la route - Merci Monsieur le Gendarme, Dieu vous le rendra dit la sœur aînée. Je bénissais ces femmes, je bénissais leur foi, leur évidente confiance en Dieu qui les protégeait d’un peu tout finalement… J’en étais là de mes béatitudes quand la sœur plus âgée se retourna et me dit droit dans les yeux : - Vous pouvez bénir Dieu ma fille de nous avoir fait passer au bon moment, au bon endroit sur cette route, mais il va falloir que vous m’expliquiez ce que vous faites nue de bon matin, sur ce plateau désertique en cette heure de la journée ! Et me prenez pas pour une gourde, voulez-vous ! Je me renfonçais encore plus sous la cape… j’étais sauvée, là était l’essentiel… (A suivre …) 
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