1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1127)


    Datte: 08/11/2018, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... de la ligne droite de la route des voitures avec gyrophares… Les hommes les avaient vues également et ils rameutaient leurs chiens… Effectivement trois voitures de la Gendarmerie arrivaient rapidement et à la vue du rassemblement, ralentirent… Un gendarme sortit, salua un des hommes semblant le connaître, lui demandant : - Bonjour John, vous cherchez quelque chose avec tous vos chiens ? - Oui mon Adjudant, on perdu une bête cette nuit et bien sûr on la cherche mais on pense qu’elle a du filer loin tant pis… - Ah bon ! Bonne journée Messieurs… Le gendarme remonta dans sa voiture et ils repartirent. Les hommes hésitèrent un moment, rappelèrent les chiens et repartirent. A un moment, j’ai failli sortir de mon fossé et venir vers les gendarmes mais quelque chose me dit de ne pas bouger, de rester là, tapie. Cependant j’étais maintenant vraiment transie, de froid, mes pieds me faisaient de plus, en plus mal, et je ne voyais plus de solution possible. Assise, je craquais et pleurais amèrement. Les hommes et les chiens étaient repartis, je me sentais perdue, alors, perdue pour perdue me dis-je, autant sortir de ce fossé, marcher sur la route, même nue, au moins si quelqu’un passe, me voyant ainsi, il s’arrêtera me disais-je… Quand on n’a plus de solution, on tente le tout pour le tout quels qu’en soient les risques … Je marchais depuis dix minutes quand je vis une nouvelle voiture arriver au bout de cette si longue ligne droite. J’eus le réflexe de me cacher mais me reprenant je me ...
    ... dis, Non tant pis, reste ici sur le bord… Au fur et à mesure que je commençais à distinguer le véhicule, je crus reconnaître une 2CV à l’allure si typique… La voiture avançait, je ne bougeais pas, elle ralentit brutalement, me dépassa, et stoppa. Je crus reconnaître la voiture qui repartit en marche arrière dans des bonds typiques de la 2CV et s’arrêta brutalement à ma hauteur. Non, je n’avais pas rêvé, je reconnaissais des coiffures typiques de religieuses ! La passagère releva sa vitre et me regardait ahurie et d’instinct je mis mes mains sur mes seins pour les cacher sans me dire qu’elles voyaient ma chatte et les traces de coups… La surprise passée, la bonne sœur bondit de son véhicule, sans me dire quoique ce soit à part des ‘’Mon Dieu ! Mon Dieu !’’, puis elle me donna sa cape et me poussa dans la voiture à l’arrière… Le véhicule repartit en cahotant à la façon de la deuche… - Pouvez-vous me dire, ma fille ce que vous faites, toute nue, sur cette route, en plein jour ? La religieuse passagère à mes côtés, s’était tournée vers moi, m’aidant à me réchauffer sous la cape, remontait le chauffage à fond et se fichait complètement du pourquoi, l’urgence selon elle était ailleurs… Elle était plus âgée que la conductrice, qui elle, semblant n’avoir que 25 ans, pas plus… - Laisse-la se réchauffer la pauvrette, et roule, on verra bien après. Je bénissais le Ciel de m’avoir envoyé ces nonnes et de ne pas avoir à répondre tout de suite à la question. Cela me donnait du temps pour ...