1. Aller simple pour Rio (3)


    Datte: 06/08/2017, Catégories: BDSM / Fétichisme

    ... peu importe, si Elle me dit de boire, je bois. Et quand Elle me dit de manger, je mange, sans aucun doute une pâtée pour chien, j’ai ce que je mérite. Je n’ai pas le temps de savourer ma liberté très partielle retrouvée, le collier, la cagoule, le bâillon retrouvent leur place tout aussi insupportable. Mes bras n’ont pas été bougés, Elle a simplement serré les ceintures d’un cran, ravivant les pires douleurs. Mes genoux ont été dépliés, et j’ai été allongé sur le ventre. Sa main gantée est venue masser mon anus, l’enduire de crème, y introduire quelques doigts inquisiteurs, avant que je ne sente un objet dur et long me remplir. Je retiens ma respiration mais il n’est pas si imposant. Ce n’est que quelques heures plus tard que sa présence continue devient infernale sur mes sphincters qui ne peuvent plus se refermer. Mes pieds sont ramenés sur mes bras, attachés très tendus, ma cagoule tirée vers l’arrière pour que ma tête soit ainsi arquée. J’ai déjà mal partout. Mais cela ne suffit pas, la cravache bien battre mes flancs d’un côté puis de l’autre, des dizaines ou des centaines de coups je ne sais pas, je replonge, je divague, ...
    ... mais je sens mon sexe devenir dur comme jamais. Ce n’est pas la position, je n’ai aucune excitation, mais sans doute Maîtresse pour s’amuser ou pour une autre raison à rempli la nourriture d’un excitant. Et je n’arrive même plus à somnoler, j’ai conscience de toutes les contraintes de mon corps, je suis reparti pour 24h d’une souffrance continuer, juste ponctuée de cravachage régulier qui m’épuisent et me brisent un peu plus. Cette mise en condition comme Elle appelait cela a duré toute une semaine, dans des positions toutes aussi pénibles et insupportables les unes que les autres. Les plugs dans mon cul ont été chaque jour plus importants, jusqu’à me faire hurler juste en les rentrant, et pleurant pendant des heures de me sentir ainsi déchiré et écarté dans mon intimité, sans bien entendu aucun répit sinon ces 15 minutes de repas chaque jour. Au bout de cette semaine je n’étais rien, plus rien, juste éperdument attaché à ma tortionnaire, dans une réaction vraiment paradoxale. Voyant que je ne pouvais même plus lever le regard sur Elle tant j’étais terrorisé, Elle décida de me faire passer à la phase suivante de mon éducation. 
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