1. Une bonne bien mal éduquée


    Datte: 09/11/2018, Catégories: f, ff, fplusag, Collègues / Travail fsoumise, fdomine, soubrette, sm, Lesbienne fsoumisaf,

    ... surtout à la vue de cette chatte large et rebondie, qui n’avait pas dû être pénétrée très souvent, mais qui était déjà légèrement dilatée, encadrée par des lèvres trop grosses… Tout cela était probablement l’un des effets du surpoids de la demoiselle… Je ne regardais pas la petite fente toute fine d’une jeune femme chaste, mais bien la chatte ouverte, obscène et pleine de bourrelets d’une femme bien en chair, pulpeuse et charnelle, qui était déjà largement initiée aux plaisirs solitaires… — Oh madame, pardon, je vous en supplie, j’ai honte, vous avez raison, je ne suis qu’une chienne, je me fais honte… Vous n’allez pas me garder n’est-ce pas ?— Que veux-tu dire ? Je t’ai dit que j’avais décidé de t’éduquer de A à Z pour que tu deviennes une parfaite soum… Heu… une parfaite soubrette. Je ne vais pas baisser les bras maintenant, la tâche ne va pas être simple, mais je te promets que quand j’en aurai fini avec toi, tu sauras contrôler tes désirs obscènes, tu sauras obéir et servir une maîtresse, tu devanceras même ma volonté… Elle était toujours assise à mes pieds, et quand elle a levé ses yeux vers moi, j’ai lu dans son regard qu’elle me vouait une adoration qui dépassait mes espérances, elle m’était reconnaissante au-delà de ce que j’imaginais. — Madame, je ne sais pas comment vous remercier, je n’osais même pas espérer que vous alliez me garder, après ce que j’ai fait…— Pour me remercier, c’est très simple, je ne te demande qu’une chose : faire ce pour quoi je te paye, le ...
    ... ménage, me servir et m’obéir !— Bien sûr madame, je vais m’habiller tout de suite et commencer par passer l’aspirateur… Elle était dans un tel état d’excitation nerveuse et sexuelle qu’elle a dû s’y reprendre à deux fois avant d’arriver à se lever, et à se diriger vers ses vêtements, en gardant les cuisses serrées et d’un pas hésitant… La faute à ses jambes flageolantes et à sa chatte qui réclamait la main de sa maîtresse… — Charlotte, dans ton état, tu crois vraiment que tu vas arriver à quoi que ce soit ? Tu crois que tu vas être capable de te concentrer sur ce que tu as à faire ? Tu es dans un tel état que tu serais capable de brûler toute ma garde robe avec le fer à repasser…— Oh pardon madame, je…— J’en ai marre que tu me demandes pardon à tout bout de champ ! Tu n’es absolument pas en état de travailler, et pour te calmer, je ne vois qu’une seule solution ! Tu vois de quoi je parle ?— Je… Je… Oui madame, je vais aller prendre une douche…— J’espère que tu plaisantes, là ! Ça te calmera pendant cinq minutes, et ensuite ça recommencera, j’en suis sûre… Je commence à te connaître, petite chienne… Non ce n’est pas à ça que je pensais…— Mais alors, je… Que voulez vous… ???— Tu vas vite comprendre, mets toi à quatre pattes ma chérie, je vais m’occuper de toi, tu verras que dans dix minutes tu auras les idées beaucoup plus claires… Allez à quatre pattes, plus vite que ça ! Écarte bien les cuisses. Ça doit être naturel d’ouvrir les cuisses pour une chienne en chaleur, non ?— …— ...
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