Félline - Une BioXXXgraphie (1)
Datte: 11/11/2018,
Catégories:
Hétéro
... caressait cet endroit-là, presque à l’entrée du vagin, derrière ce clitoris qu’il excitait du bout du doigt, Félline réagissait par des frissons et des gémissements. Il se concentra et soudain il trouva l’angle idéal. Félline rugit de bonheur, emportée par un orgasme vertigineux. Jean eut assez de présence d’esprit pour se rappeler qu’il ne portait pas de capote et qu’il ignorait si Félline prenait la pilule. Il sortit d’elle. Une violente éjaculation jaillit, épaisse, longiligne. Le trait de sperme toucha le sein de Félline, laissant une trace jusqu’au nombril. Jean, dans un effort surhumain, s’interdit une deuxième salve : il voulait garder de la réserve. Il savait qu’ils n’en resteraient pas là. _ Oh, putain…, murmura Félline. _ Désolé, répondit Jean, je n’ai pas voulu… comme je ne savais pas si… Elle le regarda, interloquée, et éclata de rire. _ Tu es trop mignon ! Tu es adorable. Jean l’embrassa, mêlant son rire au sien. Ils restèrent un moment l’un contre l’autre, avant que le mathématicien, se relevant, ne déclare : _ Bouge pas, je vais chercher des mouchoirs. Il revint de la salle de bain, une boîte de mouchoirs en papier à la main. Il essuya Félline avant de se nettoyer lui-même. C’est alors qu’il aperçut une légère ciselure rouge autour de sa verge. Eberlué, il regarda Félline qui s’étirait sur l’édredon, comme un chat en flagrant délit de paresse. _ Tu étais vierge ? _ J’attendais le bon. Le sourire dont Félline accompagna cet aveu ne désarma Jean qu’un instant. ...
... L’idée de ce qu’il venait de faire détermina en lui une nouvelle érection aussi vigoureuse que la première. _ Viens là ! Lui empoignant la main, il redressa Félline et la conduisit jusqu’à la fenêtre. _ Tu es fière d’être une femme, maintenant ? Hein ? _ Et toi, tu es fier de m’avoir rendu femme ? _ Viens là, sentir si je suis fier. _ Je vois… Je… Qu’est-ce que tu fais ? Il avait plaqué la jeune femme contre la longue fenêtre, lui collant la joue contre la vitre. De son autre bras, il ceintura le ventre de Félline, l’obligeant à se cambrer. _ Je veux te baiser devant tout le monde. Regarde. Tu vois l’immeuble en face ? Tu vois la rue en bas ? Je vais te prendre en levrette et tu vas jouir devant tout le monde. _ Non, non, je.... Oh… Oh… Elle se raidit quand il entra en elle, lui écrasant la poitrine et le visage contre la vitre. Plus grand qu’elle, il avait plié les genoux pour la pénétrer, et se relevant, il l’avait soulevée de terre, glissant ses bras sous les cuisses de la jeune femme. Les genoux de Félline butèrent contre le verre de la fenêtre, qui s’embuait sous son haleine. Le froid de la vitre lui saisissait le visage, lui durcissait les mamelons. Elle devinait, dans l’immeuble en face, des silhouettes affairées à des tâches que Félline ne devinait pas bien, peut-être du ménage, peut-être d’autres couples en train de faire l’amour. En tous cas, la plupart des appartements avait l’air vide à cette heure de la journée. Si elle ne parvenait pas à distinguer ce qui se ...