Félline - Une BioXXXgraphie (1)
Datte: 11/11/2018,
Catégories:
Hétéro
... les mettre en valeur autant qu’elle le pouvait, par des shorts moulants portés très haut sur des collants noirs opaques, reflets de sa chevelure longue, bouclée, immense, sombre dune toujours détachée et scintillante des reflets accrochés. Combien elle avait surpris, jetant un regard derrière elle, de garçons lorgnant son petit cul ! Et parfois même de filles. Elle avait bientôt appris à déchiffrer les expressions et à les reconnaître : désir violent, satisfaction esthétique, envie mal dissimulée derrière une bonne humeur de façade, amusement gaulois, jalousie venimeuse, estime d’amateur, ou encore, le plus souvent, lubricité obscène. Ce même petit cul avait enhardi Jean. Félline avait bien pris soin de s’engager devant lui dans certaines voies. Il avait pu, alors, l’admirer tout à son aise, et le mathématicien ne s’en était pas prié. Il lui avait même fallu résister à l’impulsion qui le poussait à y porter les doigts, les mains, la bouche. Jean… Jean. Dérapant hors de ses souvenirs, Félline revint soudain à la réalité. Il n’avait pas joui. Il s’était retenu, luttant de toutes ses forces au seuil de l’éjaculation. Unissant son regard au sien, la jeune femme sentit qu’il passait en revue toute une série d’images mentales ridicules, repoussantes ou déplaisantes, pour calmer son excitation tant bien que mal. « Quand il me regardera, quand il sera à ce qu’il fait, il ne pourra pas résister », songea Félline. _ Je sais à quoi tu penses, dit Jean. _ Ah ouais ? _ Mais d’abord je ...
... veux que tu prennes ton pied une deuxième fois. Il reposa Félline au sol, se dégagea d’elle. Il saisit la main de la jolie brune et la conduisit jusqu’à sa chambre. Des rideaux crème, des meubles de goût, deux petites tables de chevet où trônaient d’élégantes lampes aux abat-jours blancs cerclés d’or, un vaste lit aux draps émeraude, quelques revues et livres posés à même le sol : « Et en plus il a bon goût », se dit Félline. Cette réflexion porta au comble son excitation. Elle voulait se donner à lui sans la moindre retenue. Elle voulait qu’il la baise, qu’il la prenne de toutes ses forces. Elle voulait sentir Jean la pénétrer, elle voulait serrer son torse contre ses seins, elle voulait sentir sa langue jouer contre la sienne la folle sarabande des haleines unies, elle voulait entourer ses jambes autour des reins puissants et sentir les coups résolus qu’ils donneraient pour l’emmener au sommet du plaisir. Jean l’embrassa, la coucha sur le dos à même l’édredon, et, debout auprès du lit, il la pénétra une nouvelle fois. Le soleil de juin, en lame lumineuse entre les rideaux, rehaussait le corps de Félline d’un chemin d’or qui courait du pubis au nombril, au sein gauche, à l’épaule, avant de rebondir sur l’oreille. Déjà Jean s’emparait du lobe entre ses lèvres, sans cesser d’aller et venir. Les cuisses de Félline le ceinturaient. Il la sentait tendue, trempée de désir, prête à jouir encore. Attentif, il étudia les sensations autour de sa verge. Oui, décidément, quand son gland ...