Félline - Une BioXXXgraphie (1)
Datte: 11/11/2018,
Catégories:
Hétéro
Jean empoigna le délicieux petit cul de Félline dont il avait tant rêvé. Elle cessa d’aller et venir sur son membre, le recevant tout au fond d’elle, cambrée à se rompre, ses longs cheveux noirs bouclés caressant ses reins. Son vagin serrait la bite de Jean par palpitations fulgurantes. Les mains de Jean toujours sur ses fesses lui immobilisaient le bassin, et prolongeait son orgasme, le quatrième depuis le début de l’après-midi. Ils s’étaient tant chauffés les jours précédents, à s’envoyer des piques adoucies d’un sourire entendu, à effleurer du bout des doigts, subrepticement, le bras de l’autre, à partager des éclats de rire, à se voler des baisers au moment de se dire au revoir, qu’à peine franchie la porte de son appartement, Jean avait reçu dans ses bras une Félline palpitante. Le mètre cinquante-cinq de ce petit bout d’étudiante avait bondi à son cou. Ils avaient quitté leurs vêtements sans cesser de se couvrir de baisers. Soulever Félline n’avait demandé aucun effort à Jean : sa stature fluette, enlevée d’un coup, reposa contre le mur du couloir et se stabilisa. Déjà la jeune femme enroulait ses bras autour du cou de Jean, mordillant les lèvres, les joues, le menton du doctorant. Ce dernier, avec assurance, glissa ses mains, puis ses avant-bras, sous les genoux de Félline. Elle baissa les yeux. L’érection de Jean se présentait contre la petite chatte en feu. Jean tendit les jambes, poussa, entra en elle. Félline ne perdit pas un instant du spectacle. Elle soupira ...
... quand il s’avança dans son vagin. Elle se mit à gémir quand il s’enfonça en elle jusqu’à la garde. Elle renversa la tête en arrière quand il entama son va-et-vient. Aussitôt Jean se pencha vers les pointes durcies des petits seins et les agaça du bout de la langue. Félline, souriante, haletait en cadence avec les coups de reins de Jean. Elle sentait le ventre du garçon donner contre son clitoris, provoquant en elle des frissons de plaisir. L’orgasme la saisit d’un coup. Elle se mit à trembler, le souffle coupé, attentive à ses réactions. Ce n’était plus Jean, à présent, qui lui faisait l’amour mais son bassin à elle, Félline, qui amenuisait l’amplitude de ses mouvements, gardant Jean le plus loin possible au fond de son vagin, allant et venant sur lui de deux centimètres, d’un seul… et soudain une pluie d’étoiles explosa dans son crâne. Son cœur battait à tout rompre. Ses poumons se vidèrent en une unique bourrasque dont les échos se répercutèrent à l’oreille de Jean. La jouissance déferla comme un moment d’éternité dans tout le corps de Félline. Elle rouvrit les yeux. Le ravissement éclairait le visage de Jean. Elle mémorisa instantanément les yeux rieurs, la mâchoire volontaire, le nez aquilin, le front sérieux, les sourcils relevés de bonheur, les fossettes joyeuses. Elle avait bien fait de choisir un garçon un peu plus âgé qu’elle, assez expérimenté pour la combler, mais encore assez jeune pour déclencher en elle la passion dévorante qu’elle avait si longtemps cherché. ...