1. L'occasion fait la luronne...


    Datte: 12/11/2018, Catégories: fh, inconnu, collection, ffontaine, fsodo, occasion,

    ... coquine, sexy et racée. Et le subtil mélange des essences qui se mariait si bien avec les effluves de thé que nous dégustions ! Je ne pouvais m’empêcher de m’enivrer, de m’étourdir de ces senteurs. Et, presque saoul, je me suis lancé… à sa conquête. Discussion banale de salon de thé, considérations et platitudes sur les lieux puis orientation de la conversation sur les mélanges d’odeurs et l’harmonie qui s’en dégageait. Mathilde, « Elle » avait un prénom… et un magnifique prénom, même ! Mathilde est restée perplexe quand je lui parlai de son parfum, étonnée de découvrir qu’un homme pouvait connaître et reconnaître un parfum porté par une femme. Cette première approche, mêlée avec les autres paroles pourtant mièvres et anodines, devait l’avoir charmée car, primo, elle ne m’avait pas rejeté, deuxio, elle ne m’avait pas renvoyé à ma tasse de thé et tertio, elle s’était carrément tournée vers moi et me fixait avec des yeux intéressés, rieurs et brillants de plaisirs. Tout ce que j’aime, comme signes avant-coureurs de futurs plaisirs partagés. Dès lors, la discussion ne s’est guère éternisée. Chacun de nous sachant rapidement et implicitement ce que l’autre cherchait et, d’un rapide et commun accord, nous nous sommes éclipsés. Sur le trottoir, je me suis permis une approche plus directe, profitant de lui murmurer une question à l’oreille, je fourrai mon nez dans son cou, dans ses cheveux et respirai son odeur tout en lui déposant un doux et léger baiser à la base de l’oreille. ...
    ... Contre moi, je l’ai sentie frissonner et sa main, chaude, s’est posée sur mon poignet en me serrant légèrement en guise d’assentiment à ma question. En quelques minutes, nous étions chez moi. Chemin faisant, j’avais glissé mon bras autour de sa taille fine et sous mes doigts je sentais ses muscles nerveux, ses chairs chaudes bouger. Du coin de l’œil, j’observais son visage et je pouvais voir ses ailes de nez se contracter sous l’effet d’une respiration de plus en plus haletante. Ma main jouait avec sa hanche, sa cuisse et sa fesse, enveloppée d’un tissu soyeux et doux. Et à peine la porte palière fermée, c’est elle qui me faisait face et quémandait un baiser, goulu. Ses lèvres étaient douces, encore parfumées de bergamote, elles se sont ouvertes pour laisser sa bouche se faire fouiller. Elle fermait les yeux. Sa respiration devenait saccadée. Ses mains m’emprisonnaient la nuque, comme au cinéma. Les miennes commençaient un long, lent et subtil ballet pour découvrir ce corps inconnu qui se frottait au mien et le déshabiller. Doucement, sans précipitation, même si j’étais aussi impatient qu’elle, j’ôtai ses vêtements. Sa peau était chaude, douce et délicate. Elle était brune. Brunie par le soleil estival et elle devait entretenir sa couleur pain d’épice au moyen de séances d’UV, chez son esthéticienne. Pas un centimètre carré de ses seins n’était blanc. Ses aréoles, brunes, étaient dures et faisaient pointer leurs tétons cylindriques et turgescents. En les frottant, elles se ...