L'occasion fait la luronne...
Datte: 12/11/2018,
Catégories:
fh,
inconnu,
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ffontaine,
fsodo,
occasion,
... terre et subtilement je lui fis prendre appui contre une console. Jambes écartées, par-derrière, je vins m’empaler en elle, tout en la maintenant fermement par les hanches. Son sexe était à la fois un cratère et un lac d’eau chaude. Sans encombre, j’allai me nicher au plus profond d’elle et entamai un lent et profond mouvement de piston tandis que sa main disparaissait sous son ventre et qu’elle allait exciter son clitoris. Mon sexe était enserré par le sien. Je sentais contre mes bourses ses lèvres, bombées, humides. Contre mon ventre, ses fesses frottaient et cognaient. Je les écartai largement pour faire apparaître la rondelle brunâtre de son anus et d’un pouce curieux et pervers, j’allai en gratter l’entrée. Les plis se sont détendus, l’entrée s’est ouverte et m’invita ainsi à aller plus loin. Sans autre forme de procédé, d’un coup de reins cruel, je m’extirpai de son sexe et frottai mon sexe humide sur l’anneau culier et d’une brève poussée j’entrai. Mathilde a poussé un cri sourd. J’ai senti ses fesses et ses muscles se contracter, puis lentement se détendre avant de se contracter de nouveau puis accepter l’introduction de mon sexe dans son fondement. J’attendis un instant, suspendant mon action avant d’aller plus loin, encouragé par le mouvement de ses fesses. Doucement, j’ai fini par m’empaler complètement. Après un dernier instant de répit, je débutai une lente série de battements auxquels Mathilde répondit par un ahanement de plus en plus fort avant d’exploser dans ...
... une sorte de miaulement sauvage et de paroles crues de sa part qui devaient l’auto-exciter. Avant que son orgasme ne retombe, je marquai un temps d’arrêt puis repris de plus belle la sodomie tout en me contorsionnant pour aller fourrer mes doigts dans son sexe et aller lui gratter l’entrée, vers son point G. En une fraction de seconde, Mathilde hurla et lâcha un long jet de plaisir dans ma main tout en la broyant sous la puissance de ses muscles. Sous l’effet de ce nouvel orgasme, je m’abandonnai et à mon tour, noyai son ventre sous de longs jets de plaisir, chauds et visqueux. Exténués, soufflants comme des bœufs, mouillés de sueur autant que de plaisir, nous sommes restés vissés l’un à l’autre, durant de longues minutes, étreignant la console pour ne pas choir sur la moquette de l’entrée. Alors que nous commencions à reprendre notre souffle, une horloge lointaine a sonné six heures… J’ai senti Mathilde se tétaniser puis brusquement, s’arracher de moi. En quelques gestes et avec un minimum de paroles, elle s’est excusée, s’est rhabillée, s’est repoudrée, s’est refardée. D’un geste hyper féminin elle a sorti son vaporisateur et elle s’est enveloppée d’un aérien voile deLa Petite Robe Noire avant de me déposer un rapide et léger baiser sur les lèvres et elle s’est sauvée… Je suis resté encore un long moment, nu et seul, noyé dans les infimes gouttelettes de parfum, m’enivrant de cette fragrance, abasourdi par ce que je venais de vivre. Mon sexe portait encore, autour de lui, ...