Deux maîtresses femmes
Datte: 13/11/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
hsoumis,
fdomine,
Oral
hdanus,
coprolalie,
init,
... elle connaît vos forces, vos habitudes, en plus de vos goûts et de vos fantasmes. Émilie savait que je pourrais résister bien plus longtemps avec ma queue plantée dans une chatte si j’étais dessous plutôt que si j’étais couché au-dessus. Pourquoi ? Je n’avais jamais compris, mais ça marchait ! Quelques secondes plus tard, Virginie était à califourchon sur moi et se démenait pour utiliser mon sexe dressé pour se donner du plaisir. Elle ne pistonnait pas comme on peut le voir dans les films « X », mais elle décrivait des cercles avec son bas-ventre ce qui étirait son vagin dans tous les sens tout en massant à chaque passage son clito avec mon membre. Elle avait levé le visage vers le plafond et, les yeux fermés, elle gémissait de plus en plus fort… Émilie la regarda quelques instants, puis se décida. — Allez, la pute, tu peux jouir maintenant sur la queue de mon homme ! Et ensuite tu me le paieras ! Elle se pencha, saisit l’un des seins de Virginie avec une main, et de l’autre chercha le trou des reins de son amie. Une expression d’extase apparut sur le visage de a femme au bord de la jouissance — Ah oui, vas-y, baise-moi de ton doigt pendant qu’il me baise de sa queue…— Et toi, esclave, baise la bouche de ta maîtresse avec ta langue. Je compris ce qu’elle voulait dire, je saisis la nuque de Virginie avec ma main et lui plantai ma langue qu’elle se mit à sucer avec ardeur. L’orgasme la prit. Elle gémit, cria un peu, se contorsionna et des mots sans suite ni sens ...
... s’échappèrent de sa bouche. Bientôt, elle s’effondra sur moi et je remarquai qu’une larme coulait sur sa joue. — Putain c’était trop, j’ai joui comme une folle, c’était bon, trop bon… Ma queue était toujours raide dans son sexe que je sentais se refermer. Je saisis les fesses de Virginie et la fis remonter un peu, dégageant mon membre du nid chaud. Si Virginie s’était refermée trop vite, j’aurais même risqué de rester coincé. Mais maintenant, la fraîcheur entourait mon sexe tout humide. Virginie eut un sourire. — Il va falloir s’occuper de toi, quand même, tu mérites une récompense. Je suis sûr qu’Émilie va te prendre dans sa bouche et te faire dégorger tout ton jus… comme la bonne pute qu’elle sait être, elle aussi… Il semblerait qu’elle se souvienne des mots utilisés par Émilie pour la faire jouir. Au milieu de l’action, ça passe. Mais à froid… ça lasse et ça casse… — Je vais la tenir et tu vas lui baiser la bouche devant moi… J’ai toujours voulu voir le foutre déborder des lèvres d’une femme…— Je regrette, Madame, mais je ne pourrai pas obéir à cet ordre.— Et pourquoi donc ? Si je te dis de le faire, tu le fais !— Ma maîtresse me fait parfois l’honneur de me sucer, mais jamais jusqu’au bout et elle n’avale pas. Je ne peux faire quelque chose qui déplaise autant à ma propriétaire. Je regrette de devoir vous désobéir, mais si elle vous a délégué son autorité, je reste sa propriété… Virginie en resta comme deux ronds de flan. — Ah ça ! Pour un serviteur dévoué, c’en est un ! Je t’envie ...