1. Deux maîtresses femmes


    Datte: 13/11/2018, Catégories: ff, ffh, hsoumis, fdomine, Oral hdanus, coprolalie, init,

    ... d’avoir un esclave pareil, Émilie… Et à la limite je t’envie, esclave, d’avoir une maîtresse qui sache provoquer en toi une telle dévotion…— Peut-être voudrais-tu essayer à ton tour ? demanda Émilie avec un petit sourire.— Essayer quoi ?— Essayer l’obéissance… Virginie contempla le joli visage de sa complice et désormais amante. Elle ressentit un frisson. Émilie se révélait peu à peu. Si Virginie se livrait à elle, qu’allait-il arriver ? L’envie de savoir fut la plus forte. — Et si j’acceptai ?— Essayons… Tu verras bien…— Alors d’accord. Que veux-tu que je fasse ?— Ce que tu voulais que je fasse moi : suce-le. À fond. Ça lui fera plaisir et moi je n’aurais pas à le faire. Virginie respira un bon coup. Elle n’aimait pas plus que ça le sperme et évitait d’y goûter autant que faire se peut. Mais elle avait accepté… — Bon d’accord… Viens ici, donne-moi ta queue…— Non. Je veux qu’il te baise la bouche, pas que tu le suces ! Assieds-toi au bord du lit, écarte les jambes… C’est bien. Toi, maintenant, mets-toi debout devant elle. Tiens-lui la tête. Comme ça. Fermement. Maintenant, mon cher mari, je t’ordonne de la baiser. N’attends pas d’elle des mouvements ou quoi que ce soit. Sers-toi de sa bouche pour jouir et vide-toi bien, tu sais qu’avec moi tu n’en auras pas souvent l’occasion… Virginie avait ouvert la bouche et attendait. J’avançai mon sexe et plaçai mon gland sur ses lèvres. Elle ne fit pas un geste pour le capturer. J’eus quelques mouvements de hanches mais le contact ...
    ... était si réduit, sa bouche si passive que la sensation n’était pas vraiment agréable. Je regardai ma maîtresse et haussai un peu les épaules… — Si elle ne me suce pas, je ne pourrai pas jouir, Madame.— Je veux voir ton foutre dans sa bouche. Si elle te suce, je ne verrai rien… Je sais ! termina-t-elle avec un ton triomphant. Elle saisit ma queue et commença à la branler. Doucement d’abord, puis plus violemment. Ses doigts serraient un peu la tête, descendaient le long de la hampe, remontaient, pressaient… — Je vais venir dans vos doigts, Madame…— C’est bien, gicle fort, donne bien tout ton jus… Et toi, Virginie, ne ferme surtout pas la bouche ! Je veux tout voir. Le premier jet sortit de ma queue avec violence en raison de la longue attente mise à me libérer. Émilie orienta bien mon membre pour que le liquide se porte sur la langue de la femme soumise. Le deuxième tir fut plus approximatif et le sperme coula le long du menton de Virginie. Mais le troisième, que j’accompagnai d’un rugissement, alla dans la bonne direction, presque jusqu’au fond de la gorge ouverte. — Maintenant, avale ! Allez, avale, et ensuite suce-le pour le finir ! Les lèvres devant moi se fermèrent un instant et Virginie avala, puis en avançant un peu la tête elle captura mon sexe et l’engloutit presque tout entier, toujours humide de ses propres humeurs féminines. La sensation délicieuse d’être savamment pompé par des joues actives tandis qu’une langue tournait autour du gland me fit venir une dernière larme ...