Deux maîtresses femmes
Datte: 13/11/2018,
Catégories:
ff,
ffh,
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fdomine,
Oral
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On sonna à la porte. J’ouvris. Sur le perron se tenait Virginie, une amie de ma femme. Une amie mais avec qui j’ai quelques liens, moi aussi. Pas les mêmes, sans aucun doute, mais rien de vraiment compromettant. Elle souriait. — Tu viens de rater Émilie, elle est partie il y a même pas cinq minutes…— Je sais. Ce n’est pas grave, c’est toi que je viens voir. Tu me fais entrer ou on reste au froid ? Je reculai, la fis entrer dans la maison. Elle pénétra direct dans le salon, posa son sac, accrocha son manteau à la patère et s’assit sur le sofa. Elle tapota l’assise à côté d’elle, genre : « allez, assieds-toi… » Comme je restai un peu interdit, elle frappa plus fort le coussin, avec une petite grimace. — Je n’ai pas tout l’après-midi ! Je m’assis. Alors elle prononça les mots que quelque part je craignais d’entendre : — Eh bien voilà. Je suis venue. Je suis là. Il faut que j’explique : tout avait commencé lors d’une conversation sans véritable importance par une plaisanterie un peu leste que j’avais faite. Sur le moment, je m’en étais immédiatement repenti car je n’ai jamais dragué les copines de ma femme. Cela serait peu élégant envers elle de donner à n’importe laquelle de ses amies un tel pouvoir sur elle. Et quand je dis pouvoir… Il est probable que celle-ci le raconterait à une autre et ainsi de suite jusqu’au moment où Émilie aurait été la seule à l’ignorer, et donc aurait été méprisée par ses « amies » en jouant le rôle de la cocue de la bande. Sans compter le risque ...
... qu’un jour elle l’apprenne, et je n’avais vraiment pas envie de la perdre pour un simple coup de queue… Donc j’avais voulu reprendre la plaisanterie mais il était trop tard. Virginie l’avait rattrapée au bond et renvoyée, en smash, avec en plus un double sens manifeste. Et la balle était dans mon camp… Je n’avais pas donné suite jusqu’au jour où, dans un mail échangé à je ne sais quelle occasion, un malentendu s’était glissé dans une phrase, et c’est comme ça que tout avait démarré. De quelques échanges lestes, nous en étions passés aux confessions intimes, puis aux échanges intentionnellement « chauds ». La chose la plus étrange était que lorsque nous nous rencontrions nous n’en parlions jamais ! Cela restait l’exclusivité des échanges par le net. Qui avaient un peu dégénéré en envois de photos plus ou moins excitantes, puis par des échanges tout à fait explicites, puis par une masturbation par message (et si je te faisais ça, est-ce que tu jouirais ? Et si tu me voyais faire cela, etc.) Il y eut également quelques SMS, et aussi, pour couronner le tout, quelques échanges téléphoniques avec jouissance explicite et bruyante à chaque extrémité. Mais jamais un seul contact physique. À l’exception, il me faut l’avouer, d’un sein que j’avais caressé un jour en lui faisant la bise, en glissant la main sous son manteau car personne ne pouvait me voir. Elle s’était vengée quelques jours plus tard. Alors que je préparais dans la cuisine un plateau d’amuse-gueules pour le groupe d’amis ...