1. Le monde des hommes-chiens. (4)


    Datte: 14/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    Mildred s’agenouilla et nous fîmes cercle autour du couple pour bien mesurer les aptitudes du chaman. Il triquait à mort. Sa belle queue arquée, pointait déjà fièrement vers le ciel poursuivant son ascension et le prépuce se retirait à mesure que le gland enflait. La fille porta immédiatement le gros nœud à sa bouche. Elle engloutit le gland en ouvrant au maximum vu la circonférence du joujou. Elle démontra un évident savoir-faire, dont nous avions déjà pu avoir un aperçu sur les vidéos de coït où elle était fort à son avantage. Elle pompait comme une déesse, léchait, suçait, allait et venait jusqu’aux bourses bien pendantes et reprenait le mandrin dans la bouche. Les yeux des puceaux étaient rivés sur les écrans qui dévoilaient la partie en gros plan ; comme s’ils découvraient la chose la plus extraordinaire de l’univers. Progressivement Moolabhit se lâcha. Il passa ses deux bras derrière sa tête commença à baver et à danser du cul pour améliorer la sensation. Pour lui aussi c’était une découverte. Ah fichtre, c’est trop bon. Jamais nos femelles ne seraient capables de faire ça. Regardez bien les jeunes. Laissez faire. C’est géantissime. Il n’y a aucun plaisir comparable. Les milliers de quéquettes dressées vibraient d’impatience et l’une d’entre nous, avisant le jeune public qui était aux premiers rangs s’exclama : — Mais les filles, regardez, j’ai pas la berlue ! — Quoi ? — Mais vous voyez pas, leurs bites... — Quoi leurs bites ? — Elles bougent toutes seules ! — Quoi ...
    ... d’extraordinaire, dit Moolabhit ? Regardez ! — Et nous fixâmes son pénis qu’une invisible main masturbait lentement. — Comment vous faites ça ? — Ça ? — Oui, comment ta bite bouge ? On dirait qu’elle se branle elle-même. — Ben oui ! Normal ! Ils font pas cela vos mâles ? — Non ! Si seulement ! — Il vous faut une petite leçon d’anatomie. Voyez... toi salope, suce toujours. Tu regarderas après. — Si en même temps que je te suce tu voulais bien me peloter les nichons, vieux cochon, ça m’irait bien aussi. Et nous les laissâmes à leurs ébats, prenant un cours d’anatomie menhundienne façon "c’est pas sorcier". L’anatomie du pénis de cette espèce est vraiment prodigieuse. Leur sexe est équipé de muscles. Il y en a un très fin qui sert à tirer la peau vers l’arrière pour que le gland décalotte. Et puis il y a le masturbachial. Il fait le tour de la bite et s’attache par cet anneau très fin et très dur qui se situe juste en arrière du gland en qui enserre les jellubsters entre le gland et la hampe, anneau auquel nous n’avions pas fait attention lors de notre première séance de découverte de leur appareil génital, le prenant juste pour un bourrelet équivalent à celui du gland. Il permet de compenser ce que la nature des femelles ne peut donner. En effet, les pauvres ne pratiquent guère que la levrette, à cause de leur anatomie peu propice à d’autres formes de plaisir, elles peuvent lécher plus que sucer compte tenu de leur gueule et leur dentition et, comme elles sont très souvent à quatre ...
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