Le monde des hommes-chiens. (4)
Datte: 14/11/2018,
Catégories:
Partouze / Groupe
... lécher, mais une bouffarde bien baveuse, avec le gland qui disparaît en entier, avec la langue qu’on insère entre sa masse douce et le prépuce, une longue pipe, ferme et douce à la fois, avec ou sans les mains... et ils y prenaient goût. Certains bien sûr se trompaient dans leur apprentissage du vocabulaire ordurier : "Tu la sens ma truie, grosse bite !" ou ce genre de choses nous firent bien marrer. Mais peu à peu, ils se mirent à nous insulter avec des mots de leur propre langue, qui n’avait aucune signification pour nous. " Tu la sens ma grosse trajoule... j’suis monté comme un pénissausore" ne voulaient a priori rien dire. Nous sûmes plus tard qu’une trajoule est une branche d’un arbre particulièrement dur chez eux, quant au pénissausore... mais c’est déjà une autre histoire qui aura son temps dans le prochain chapitre. Nous étions donc toutes désormais ravagées de plaisir. Le premier cri d’orgasme surprit nos hôtes, dont les femelles ne criaient pas autant, malgré les reportages qu’ils avaient vus sur nos compétences. Il leva bien des inhibitions. Chez eux comme chez nous. — Amenez-moi des bites ! dit Charlotte qui laissait libre cours à son tempérament fiévreux et généreux. La remarque était bienvenue car, même à trente, il nous faudrait plusieurs jours pour nous faire couvrir par tous ces beaux gaillards. Si on en traitait plusieurs d’un coup, on gagnerait du temps. Mildred dit à Moolabhit : — Moolabhit, tu peux faire diffuser la vidéo où je suis avec quatre ...
... blacks ? — C’est quoi quatre blacks ? — C’est quatre hommes de chez nous qui ont la peau toute foncée. — D’accord. mjombbip — Et aussitôt l’image éclaira le stade. — Accélère un peu... Nous y voilà. A l’écran, la rousse opulente était soulevée en l’air par un black colossal qui la portait pliée en deux sur l’épaule. A cette hauteur, un gars derrière s’approcha pour lui bouffer la chatte pendant que les autres essayaient de lui pincer les seins. Puis on descendit la fille d’un étage, trois gars la tenant pendant que le dernier lui détruisait l’anus. Partout la scène fut copiée. La longue langue mobile des menhunds fit merveille dans nos trous. Elle était douce d’un côté et très rappeuse de l’autre, un peu comme une éponge double face. C’était super. Puis commencèrent les doubles et, apparemment, c’était une nouveauté sur cette planète, nouveauté qui, à en croire par l’engouement qu’elle provoquait, deviendrait bientôt règle commune. Dès qu’un jeune gars éjaculait, un autre le remplaçait. Leur sperme, mélangé à leur urine ou pas, était délicieux. Alors que j’étais en levrette avec un robuste gaillard dans le vagin, un gars me pissa son jus dans la bouche. Il y en avait trop pour que je puisse avaler et je me dégageai pour recracher le surplus pendant que les derniers spasmes de l’éjaculation répandaient sur mon visage les ultimes tirs de foutre. J’en profitai pour regarder alentour. Nous étions toutes cernées en permanence par quatre ou cinq mâles en rut. De la sorte, je ne pouvais ...