1. Le monde des hommes-chiens. (4)


    Datte: 14/11/2018, Catégories: Partouze / Groupe

    ... pattes, elles branlent peu. Donc, la nature faisant ici comme ailleurs bien les choses, la queue se branle toute seule pour exciter le plaisir du mâle. En fait le kâma sutra de cette espèce est très limité et nous allions lui donner un nouvel élan. C’est pour compenser ces ébats limités, dans le plaisir et la durée que les menhunds sont habitués à baiser très vite mais, en revanche, très souvent. Ils rechargent leurs couilles en une dizaine de minutes et peuvent décharger jusqu’à dix ou douze fois par jour. Il suffit de boire abondamment et de manger un certain fruit entre les coups de bite pour refaire le plein de jute. Le muscle masturbachial permet non seulement au mâle de se masturber sans y mettre les mains, il peut aussi donner à la bite une certaine mobilité, lui permettant de se mettre toute droite ou, légèrement arquée, de faire un peu pivoter le gland vers la droite ou la gauche et même permet à la bite de faire de légères rotations sur elle-même afin de trouver, dans la chatte, la place qui lui convient le mieux pour bien se bloquer et juter à fond. Imaginez une bite qui vous remplit le trou et qui est capable de s’y agiter alors que le mâle reste collé à votre cul, en position de blocage, le knot gonflé. C’est le super pied, comme nous allions le découvrir chacune à notre tour. Nous reprîmes donc nos places. Un mâle se présenta. Il avait l’air timide. Un coup d’œil à droite, un coup d’œil à gauche. Les filles avaient déjà pris les choses en main. Chacune ...
    ... suçait un bon gros dard et aux grognements qu’on entendait, on sut que la démarche était plébiscitée. Les progrès des jeunes mâles étaient vraiment impressionnants mais il y manquait encore quelque chose... le vice. Ces gars prenaient du plaisir sans vice. En fait, ils coïtent sans insultes. Pour eux, les mots de "chienne", "salope", "pute", "truie"... j’en passe et des meilleures, n’ont pas de sens. Nous demandâmes une nouvelle interruption de séance. Nous prîmes un jeune mâle qui trépignait d’impatience et l’accouplâmes avec ma sœur. Derrière, nous soufflions au jeune gars ce qu’il devait dire, en expliquant le sens des mots, des expressions ou des attitudes pour que chacun en comprenne bien la portée et la charge érotique. Les : "T’aimes ça grosse pute, sac à sperme, garage à bites, traînée, prends la bien au fond, tu la sens bien ma grosse bite, retourne-toi pouffiasse que je t’élargisse le trou du cul, etc..." fusèrent. Les mots, les pauses s’affichaient sur les écrans. Sur les banquettes d’à côté, les filles avaient repris leur office et les mâles qui les déboîtaient répétaient à l’envi ce qu’ils venaient d’entendre avec la même joie juvénile qu’un gosse qui apprend des gros mots. Une nouvelle fois, l’apprentissage fut très rapide, d’autant que le fait de contrôler le coït décuplait leur plaisir et, avec lui, les obscénités vinrent de plus en plus spontanément. Par ailleurs, ils découvraient ce qu’était une pipe, une vraie, pas celle de leurs femelles qui ne pouvaient que ...