1. L'INCONNU DU CINEMA (10)


    Datte: 06/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... consentante. — Hum…Marc…elle va te bouffer la queue…tellement elle te l’avale… — Ouaiiii…tu n’imagine pas comment je me retiens…hum…de lui jouir dans le gosier, cette salope est trop excitante. — He…les gars il faut ralentir…la cadence… sinon ont va jouir trop vite…et ma putain préféré ne profitera pas assez de ma grosse queue. — Hum…ouiiii…douce…ment…mes chéris…limer moi…doucement…c’est trop bon Mon mari m’a encore claqué les fesses plusieurs fois pour me faire redescendre la pression. — Alors… comme çà…t’aime les bites…tu aime me faire cocu…hein…ma putain…avoue que t’aime ça… — Ouiiii… j’aime…çà…j’aime que tu…sois cocu… Comme la brute l’avait demandé, ils ont ralentis leurs assauts pour que je puisse souffler un peu. Marc ressortait sa bite de ma bouche pour me laisser respirer pendant que mon mari s’était logé au fond de mon cul sans bouger, juste en m’agrippant par les anches pour maintenir sa queue bien au fond. La brute continuait à me dilater la moule au ralenti, il sortait sa bite tout doucement jusqu’à ce que le gland soit à la limite d’expulsion pour replonger de nouveau dans mon vagin en forçant le passage et venir buter contre mes ovaires. A chaque nouvelle pénétration, je sentais ma cyprine déborder sur mes cuisses, sa grosse bite évacuait le trop plein pour prendre toute la place disponible. Et il avait raison, au ralenti les sensations prenaient une toute autre dimension, mon esprit pouvait ce concentrer sur chaque bite à tour de rôle, je sentais les deux ...
    ... queues se frotter l’une contre l’autre au travers de la mince paroi de chair séparant mes orifices. Je pouvais déguster la superbe bite de Marc qui se frottait sur ma langue, ressentir mes chairs s’écarter sous la pression de la merveilleuse queue de cette brute perverse et je pouvais me régaler d’avoir le cul bien rempli par mon homme. Mon homme, dont la présence à cette orgie m’excitais au plus haut point, je réalisais enfin mon fantasme le plus pervers, cocufier mon mari avec son accord, qu’elle femme ne rêverait pas de cela. Mais j’étais toujours empalée sur leurs membres qui me fouillaient sérieusement, et le plaisir montait, montait, malgré leurs efforts pour me retenir plus longtemps celui-ci devenait insupportable. Mélange intrigant d’extase et de douleur perverse, mon ventre était déjà parcouru de spasmes, mes membres se contractaient sous les assauts et ma respiration se faisait par saccades. Les mâles eux aussi s’entaient le plaisir monté : — Putain…elle va se lâcher…notre putain…elle va jouir… — Ouiiii…hum…faites…moi…hum…jouir…ouiiiiiiii… Marc ma planté sa queue au fond de la gorge, me tenant fermement la tête pour que je ne puisse lui échapper, mon mari fit de même en me serrant les anches et la brute m’enfonçât son membre jusque aux ovaires en lâchant son râle. Tous trois on crié en même temps, en synchronisant leurs puissantes éjaculations. — Haaaaa…putainnnnnnnn…salopeeeeeee…sale…pute… J’ai senti leurs jets chauds me couler dans les entrailles, me remplir ...
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