L'INCONNU DU CINEMA (10)
Datte: 06/08/2017,
Catégories:
Partouze / Groupe
... totalement les cavités intimes jusqu’à déborder du trop plein. Ma jouissance fut terrible et dévastatrice, la vague de plaisir ma littéralement anéantie et mon corps s’est laissé choir de tout son poids sur la brute. J’ondulais sous les contractions et les spasmes nerveux, j’avais du mal à déglutir toute la sauce que Marc m’envoyait dans le gosier et je sentais le sperme de mon homme qui débordait de mon cul pour couler sur la bite de la brute. Je ressentais toutes ces queues qui frémissaient encore logées dans leurs orifices respectifs, mes chairs me brulaient d’extase, meurtries par les dilatations et les échauffements que leurs grosses bites m’imposaient. Ma vue s’est embrouillé et je me suis laissé partir dans les étoiles, emportée par un tsunami de jouissance et de sensations, j’ai laissé mon corps tout entier jouir comme jamais je n’avais encore jouis. Les trois salauds se régalaient encore en me donnant leurs derniers coups de queues, essorant leurs dernières gouttes de semence avant de retirer leurs sexe de mes trous. Mon mari s’est assis à nos coté pour reprendre ses esprits, Marc s’est relevé et je suis resté allongée sur le torse de la brute qui me caressait encore les fesses. Au bout de quelques minutes, la brute nous a tous sorti de notre nuage en parlant à mon mari. — Putain…quelle est bonne ta femme, je la veux pour moi…il faut que tu me la laisse… Et Marc repris : — Doucement, ce n’est pas comme ça que cela se passe alors tu te calme. Mon homme ne disait ...
... rien, il me regardait avec une certaine fierté, fiers d’avoir une si jolie femme, si désirable et si soumise. Moi j’avais du mal à reprendre mes esprits totalement exténuée, mal à la mâchoire, au cul et la vulve en feu, quelques derniers frissons et décharges d’adrénaline me parcouraient encore le corps. J’étais avachie sur ce grand tas de muscles qui s’avouerait la douceur et la chaleur de ma peau contre lui, il en profitait pour me peloter dans tous les recoins sous les yeux de mon homme. — Tu sais quelle serait heureuse avec moi, elle aime ma grosse bite et je la régale bien. — N’insiste pas, elle ne t’appartient pas et tu le sais. — Dommage pour elle, car ce n’est pas vos petites bites qui vont la satisfaire. Marc me prie sous les épaules pour m’aider à me relever, malgré des d’étourdissements je me suis mise debout en m’accrochant à lui. Mon mari s’est aussi relevé et m’a aussitôt pris dans ces bras en me déposant un baisé sur la bouche. — Vient mon amour, vient te reposer Autour de nous ça baissait encore, chaque homme s’occupait de sa partenaire ou c’était la partenaire qui s’occupait de son homme. En levrette, en missionnaire ou sur le coté, sa limait dans tous les coins, sa sentait le sexe et la sueur. Les orgasmes se déclenchaient les uns après les autres sous les cris et les gémissements des femelles enfin satisfaites. Mon mari m’a fait traverser toute la pièce entre les corps nus qui copulaient dans chaque recoin, c’était sidérant de perversité et malgré que je fusse ...