1. L'INCONNU DU CINEMA (10)


    Datte: 06/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... fait…un cadeau — Elle est très belle et te va à merveille, j’espère que tu as mi des dessous coquin, fait voir… — Heu…non…si…mais non je ne te fait pas voir, quelqu’un peut entrer… — Comment ça, quelqu’un peut entrer ? — De toutes les façons, il va falloir y allé c’est bientôt l’heure. — Mais attend, allé fait moi voir II m’a bloqué avec un bras et à l’aide de l’autre il a remonté ma robe tout en me caressant la cuisse, sa main montait doucement en palpant ma peau nue jusqu’à venir effleurer mes fesses. — Mais…tu es nue…tu n’as pas mis de culotte ? — Heu…non…j’allais le faire…mais tu es entré… — Tu en es sure ? Alors elle est où cette petite culotte ? Montre la moi. — Heu… dans ma valise…oui…elle est dans ma valise — Pourtant tu attendais là, assise et tu lisais tranquillement, donc tu allais partir en oubliant de mettre ta culotte. — Heu… tu as raison…je me sentais si bien…que peut être…je serais partie sans — Oh toi, je te soupçonne d’avoir été mise au courant de mon arrivée et tu voulais me faire une surprise. — Tu es impossible, on ne peut pas te cacher quoi que ce soit, pour la peine je vais en mettre une tout de suite, et une moche tant qu’a faire. — Jamais de la vie, c’est trop excitant de te savoir cul nu sous ta robe — Bon d’accord, mais tu devras te faire pardonner quand même. Quelqu’un toqua de nouveau à la porte, toc, toc, toc… — Oui entrez... C’était Marie qui venait nous chercher : — Monsieur, madame, vous êtes attendu au grand salon — Chérie regarde, vous ...
    ... avez exactement la même robe toute les deux Effectivement, Marie portait la même robe que moi et ça sentait le piège — Heu…oui chéri, en fait ils me l’on offerte…spécialement… pour cette soirée — Ha c’est une tenue imposé pour les femmes, mais je vous rassure vous êtes très belles dans cette robe. Marie m’a fait un beau sourire et un clin d’œil pour souligner que je m’en étais bien sortie. — Allez venez ne les faisons pas attendre Nous l’avons suivi jusque au grand salon où ils nous attendaient tous, Le Maître était là à coté de Marc, leurs amis étaient tous là aussi, même la brute, et il y avait aussi huit, non neuf autres femmes toutes vêtues de la même robe que moi et Marie. Au total il y avait onze hommes en comptant mon mari et onze femmes avec Marie et moi et cela ne devait pas être le fruit du hasard. Maître pris la parole : — Messieurs, merci pour votre présence à tous, je tiens à remercier particulièrement l’époux de notre adorable Emilie, que vous connaissez déjà tous très bien d’après ce qu’on m’a dit, Emilie et non pas son époux. Des rires étouffés on traversé le salon, il faut dire que l’allusion était évidente et plutôt faite pour m’humilier en présence de mon mari. — Cette semaine de formation prend fin et je tenais à lui faire découvrir tout notre savoir faire, qu’il puisse se rendre compte de par lui-même toutes les nouvelles compétences de sa belle, très belle épouse. Je commençais à rougir, comprenant qu’il allait se passer quelque chose de très particulier, ...
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