1. L'INCONNU DU CINEMA (10)


    Datte: 06/08/2017, Catégories: Partouze / Groupe

    ... suivant son discours, le Maître allait dévoiler ce que je craignais le plus. Ma honte prenait le dessus, mon cœur s’accélérait et j’avais les mains moites, je voyais venir ma plus grande peur, que mon mari découvre mon infidélité. Nous allions être la risée de tout ce beau monde, comment allait-il réagir ? Mon ventre se nouait et mes jambes flageolaient. — Venez Emilie, venez près de moi, si votre époux le permet, bien sur. — J’ai regardé mon mari qui m’a fait signe de la tête — Voilà c’est bien, maintenant installez vous tous confortablement Tous les hommes se sont installés dans les profonds canapés du salon, mon mari lui s’est installé dans le fauteuil près de lui, ils étaient tous assis seuls restaient le Maître et moi au centre de la pièce, toutes les autres femmes se plaçaient chacune à coté d’un homme. Je fus surprise de voir que Marie s’était approché de mon homme, s’asseyant sur l’accoudoir du fauteuil en croisant ses longues jambes devant les yeux de mon époux qui semblait ravis de découvrir de si belles cuisses. — Voilà, j’espère que vous êtes tous bien installés, ces dames vous nous faire le plaisir de bien s’occuper de vous pendant notre démonstration. C’était évident qu’il allait se passer quelque chose et j’avais le sentiment que j’allais encore, être le centre d’intérêt de cette assistance, je regardais mon mari qui maintenant tenait Marie par la taille. — Comme vous le savez tous, c’est la septième semaine de formation pour notre nouvelle recrue qui nous a ...
    ... comblé plus que nous l’aurions espéré, Emilie à un énorme potentiel et je tiens tout particulièrement à remercier Marc qui à fait sa découverte. Il parlait en me regardant droit dans les yeux, appuyant là ou cela allait me faire mal, j’écoutais sans rien pouvoir faire pour stopper cette terrible humiliation publique, les yeux humides je sentais des larmes s’immiscer sur mes joues. Mais au point ou j’en étais, ne pouvant plus faire machine arrière, j’acceptais mon sort, quoi qu’il arrive, quoi qu’il me demande j’exécuterais ses ordres et peut importe le prix à payer je m’acquitterais de ma dette. J’ai regardé mon mari en pensant dans ma tête, mon amour, pardonne moi mais je t’aime vraiment, excuse moi pour le mal que je t’ai fait, c’était plus fort que moi. — Emilie… Emilie… ce n’est plus le moment de rêver — Heu…oui… — Oui qui ? — Oui monsieur…heu…oui Maître Je parlais encore tout doucement espérant que mon mari n’entende pas mes mots — Enlevez votre robe — Monsieur…s’il vous plait… Même en sachant que je ne pourrais y échapper, je me suis accroché à un dernier sursaut de pudeur. — Il faut que je me répète ? — Non…monsieur…non… Le regard fixé sur le sol, j’ai lentement retiré ma robe, dévoilant petit à petit ma peau nue qui frissonnait d’angoisse. J’attendais le moment ou j’entendrais mon homme crier, mais qu’est ce que tu fais, tu es folle, vous n’êtes pas bien… Mais aucun son ne traversait le salon, le silence total. Ma robe est tombée à mes pieds, j’étais là, toute nue au ...
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