Loyers en retard, notre propriétaire en profite
Datte: 16/11/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
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cocucont,
Mon histoire se déroule pendant nos années fac. Nous étions alors deux jeunes étudiants des TOM perdus dans Montpellier. Nos parents ne roulaient pas sur l’or et nous devions travailler pour pouvoir manger à notre faim. Nous manquions de tout en réalité, et la situation s’est brusquement aggravée lorsque mes parents, en proie à des difficultés financières, ne purent plus m’envoyer le mandat salutaire du début de mois. Rapidement, on se mit à devoir un demi-loyer, puis un loyer, etc., etc., jusqu’à arriver à deux loyers entiers en retard. Notre propriétaire était un vieux monsieur bedonnant, la soixantaine bien sonnée, très gentil avec nous, mais malheureusement ne pouvant pas se permettre de nous loger gratuitement ou presque vis-à-vis des autres locataires. Il est venu nous trouver pour nous faire savoir qu’il fallait que l’on trouve une solution rapidement sinon il allait être obligé de nous faire partir. Depuis le début, nous avions remarqué qu’il trouvait Charlie tout à fait à son goût, ne manquant jamais de la complimenter sur sa tenue, son sourire, sa plastique, etc. Jusqu’à présent, nous n’avions jamais pensé nous servir de ça pour avoir des avantages vis-à-vis des autres locataires ; mais là, une suite d’événements a fait qu’on en a profité, par la force des choses. Charlie, qui travaillait avec moi à la brasserie du coin, démissionna pour prendre un poste d’hôtesse d’accueil dans un salon de massage de relaxation où les masseuses n’en étaient pas vraiment. Pour être ...
... tout à fait franc, les masseuses en question, moyennant finances, pouvaient être amenées à « soulager » leur client – en général manuellement – et beaucoup plus rarement oralement, si vous voyez ce que je veux dire. Elle était beaucoup mieux payée, et on a alors pu commencer à rembourser petit à petit, chaque mois, une partie de notre ardoise, à la grande satisfaction de notre propriétaire qui accepta alors, au vu de notre bonne volonté, de continuer à nous loger. Très peu de temps après avoir commencé son nouveau job, une des masseuses démissionna. La patronne lui proposa de prendre le poste en lui expliquant les rudiments du massage relaxant après une formation ultra-rapide d’une dizaine de jours sur le terrain, si j’ose dire. Charlie accepta sans m’en parler, de peur que je m’y oppose, en sachant très bien ce qu’elle allait devoir faire avec les clients. Le salaire n’avait plus rien à voir avec ce qu’elle touchait en qualité d’hôtesse d’accueil ; et surtout, les horaires étaient beaucoup plus malléables, ce qui l’arrangeait à cause des cours à la fac. Rapidement, je me suis rendu compte que quelque chose était en train de se passer quand j’ai vu d’abord notre petit frigo déborder de victuailles, et des nouveaux vêtements, tant pour elle que pour moi. J’ai commencé à lui poser des questions quant à son travail, mais elle restait toujours très évasive sur ce qu’elle avait à faire exactement, jusqu’au jour où elle finit par me dire qu’il fallait que l’on parle car elle avait ...