1. Loyers en retard, notre propriétaire en profite


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fh, hagé, cocus, cocucont,

    ... demandant si c’était bien ce qu’il voulait, la baiser à chaque fois qu’il viendrait, en levant les yeux vers le plafond. Je répondis oui en même temps que monsieur Georges puis, à peine celui-ci hors du studio, je descendis de ma cachette pour me précipiter vers Charlie. Elle m’attendait sur le lit, souriante, son corps simplement recouvert d’un drap tout froissé par la joute dont il avait été le témoin. Elle me dit alors en repoussant le drap pour se découvrir : — C’est bien ça que tu voulais, n’est-ce pas mon chéri ? Elle avait les jambes écartées, sa petite chatte toute boursouflée et débordante du sperme de monsieur Georges. — Réponds à la putain de notre propriétaire. C’est bien ça qui t’excite ? Tu as aimé, mon chéri ? Tu as aimé voir ta petite femme se faire mettre par le gros monsieur ?— Oui. Oui, j’ai aimé. Mais toi aussi tu as aimé. Je t’ai vue et entendue jouir plusieurs fois. Ça t’excite toi aussi de faire la pute ?— C’est vrai. Je ne me reconnais plus, et ça me fait peur maintenant. Pendant tout le temps où nous sommes restés dans cette fac, monsieur Georges est venu deux fois par semaine « relever les compteurs » comme il disait, en s’épanchant dans le vagin de ma chérie d’amour. Au bout de quelque temps, Charlie lui a avoué que c’était grâce à moi qu’elle avait accepté de le laisser la baiser, lui expliquant que j’étais un gros pervers et que je jouissais de voir ma femme se faire mettre par une autre queue que la mienne. Elle lui a demandé de la prendre devant moi de temps en temps et il a accepté. Dès cet instant il est venu plus souvent, n’importe quand, même me sachant à la maison pour venir se soulager dans le ventre de ma belle, sachant pertinemment qu’il était le bienvenu tant vis-à-vis de ma femme que de moi. Toujours prête et disponible pour satisfaire ses deux mâles.
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