1. Loyers en retard, notre propriétaire en profite


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fh, hagé, cocus, cocucont,

    ... faire juter en les branlant entre ses doigts, m’avouant quand même qu’il lui arrivait très souvent de leur montrer ses seins, voire de les laisser les peloter au moment de leur jouissance. Quand je lui demandai si elle n’avait jamais eu envie d’en sucer au moins une, elle m’avoua que plusieurs fois elle en avait eu envie mais qu’elle s’était retenue car elle ne pouvait pas faire ça sans qu’on en ait parlé avant. Je l’inondais de questions, voulant tout savoir, et là j’appris qu’elle n’avait jamais vu autant de bites en si peu de temps. Des grosses bien larges, des longues, des énormes, et des couilles aussi toutes différentes les unes des autres. Les hommes étaient vraiment tous des gros vicieux avides de sexe dès qu’ils voyaient une petite jeune prête à se plier à leurs exigences. Puis elle revint à notre propriétaire en me demandant ce que j’en pensais. Ça m’embêtait beaucoup que ça se passe carrément chez nous, mais en même ça m’excitait un max, d’autant qu’avec de la persuasion, je pourrais peut-être arriver à la convaincre de me laisser regarder, caché dans le petit réduit servant de combles dans le plafond. Je finis par lui donner mon accord en lui faisant promettre qu’elle allait tout me raconter sans jamais rien me cacher, et qu’à partir de maintenant elle acceptait de ne jamais se refuser à moi, même si elle était fatiguée ou qu’elle n’en avait pas envie tout simplement. Elle accepta toutes mes conditions en me disant que dès le lendemain elle lui annoncerait la ...
    ... bonne nouvelle comme quoi il n’aurait plus à passer au salon de massage. La journée du lendemain se passa normalement, à part que je me sentais excité en permanence, me demandant à plusieurs reprises dans la journée si notre propriétaire était passé à notre appartement pour profiter des services de ma petite salope. Quand je rentrai le soir, je retrouvai Charlie toute souriante, visiblement de très bonne humeur. Elle me demanda de regarder sous mon oreiller ce qui s’y trouvait. Je le soulevai, et là je découvris un reçu de notre propriétaire, lequel stipulait que le reste de nos dettes (se montant encore à un mois entier de loyer) avait été réglé. Je me mis à bander immédiatement en imaginant ma chérie avec lui durant l’après-midi. — Il est venu, c’est ça ?— Oui, il est venu pour se faire masser et puis, comme la dernière fois, m’a demandé une spéciale. J’ai donc accepté en baissant son caleçon et découvrir sa queue déjà toute raide.— Il en a une grosse ?— Non, non. Pas du tout. Je dirais plutôt super fine et super longue. Je n’ai pas mesuré, mais c’est sûr qu’elle est super longue, avec un gland par contre très gros, très beau, circoncis.— Très beau… humm ! Ça m’excite que tu dises ça en parlant d’une autre queue que la mienne.— Bref, j’ai commencé à lui caresser la bête pour bien finir de l’exciter, puis je l’ai branlé en enduisant sa bite de salive. Il grognait comme un goret. C’était super excitant de l’entendre grogner comme ça, et surtout sentir les spasmes de sa tige entre ...
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