Loyers en retard, notre propriétaire en profite
Datte: 16/11/2018,
Catégories:
fh,
hagé,
cocus,
cocucont,
... l’air content, tout à coup. Tu aimerais nous mater, c’est ça ?— Oui, c’est vrai. Ça me paraît tellement incroyable, moi qui suis si possessif normalement avec toi ; et pourtant, oui, ça m’excite tellement de t’imaginer en train de faire ça que je crois que j’adorerais que tu me laisses assister au moins une fois à ça.— T’es sûr que tu veuilles assister à ça ? Tu ne vas nous péter un câble et faire je ne sais quoi qui pourrait nous expédier à la rue ?— J’en suis sûr. Tout à fait sûr. Elle me dit que monsieur Georges allait certainement revenir dans deux jours pour un nouveau petit massage ; enfin, on se comprend lorsqu’on parle de massage. Elle me proposa de monter dans le faux plafond pour pouvoir assister à toute la séance, me faisant promettre de ne pas me manifester quoi qu’il arrive. Je recommençai immédiatement à bander malgré ma jouissance toute proche. Charlie se mit à pouffer de rire en me voyant la queue à nouveau dressée contre mon ventre. Elle se débarrassa de son short et de sa petite culotte, se tourna pour me présenter ses fesses en montant à quatre pattes tout au bord de notre lit en disant : — J’ai assez sucé pour aujourd’hui. Baise-moi comme ça, par derrière. Moi aussi ça m’excite de te raconter tout ça. Un simple regard vers sa petite moule dégoulinante de ses sécrétions me confirma qu’elle disait vrai. Sans attendre, je me suis positionné derrière elle, posé mon gland dans l’entrée de sa vulve en commentant à mon tour : — Monsieur Georges adorerait être ...
... à ma place en ce moment, tu ne crois pas ?— Ça c’est sûr et certain.— Tu le laisses te toucher pendant que tu le suces ?— Juste mes seins, mais je suis sûre qu’il crève d’envie de plus, ce vieux salaud !— Et toi, t’en as pas envie ?— Si, bien sûr, surtout quand il m’a bien trituré les tétons en tirant sur eux jusqu’à m’en faire mal. Dans ces moments-là, c’est une bonne queue dans le ventre qui me ferait envie.— C’est pour moi que tu ne le fais pas ?— Tu le sais bien. C’est toi mon homme. Ces deux trous-là sont à toi.— Et si je te le demandais ?— Tu aimerais donc que je laisse un autre homme me posséder ?— Je ne sais pas. J’ai envie, pas envie. En fait, je crois que oui, mais à condition que je sois là pour bien voir sa queue s’enfoncer dans ta chatte.— T’es vraiment un vicieux, un gros pervers…— C’est toi. C’est toi qui m’as mis toutes ces idées dans la tête ! Notre excitation était à son paroxysme ; j’accélérai mes coups de reins. Elle me cria de lui donner tout mon jus. C’en était trop. J’explosai en criant que je l’aime. Elle me suivit dans l’orgasme en poussant une longue plainte de jouissance. Deux jours plus tard, je me retrouvai caché dans le faux plafond de notre petit studio, attendant l’arrivée imminente de ce cher propriétaire. J’avais tout préparé en mettant des coussins dans l’abri de fortune, et surtout en perçant plusieurs orifices pour me permettre de voir le lit et le canapé de ma cachette. Mon cœur était sur le point d’exploser quand je m’installai dans ma ...