1. Loyers en retard, notre propriétaire en profite


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fh, hagé, cocus, cocucont,

    ... cachette. Heureusement, l’attente ne fut pas longue car quelques minutes plus tard, j’entendis toquer à notre porte. C’était lui. — Bonjour Charlie !— Bonjour, Monsieur Georges.— Tu es seule ? Je n’ai pas vu Éric s’en aller.— Houlà, ça fait presque deux heures qu’il a dû partir.— Ah, cool. On va pouvoir euh…— Bien sûr, Monsieur Georges. Installez-vous sur le lit, vous voulez bien ?— Je me déshabille comme d’habitude ?— Comme d’habitude. À moins que vous préfériez passer aux choses sérieuses tout de suite.— Humm ! J’aimerais assez, ouais !— Bien. Dans ce cas, installez-vous dans le canapé. Le temps de me laver les mains et j’arrive. De mon poste d’observation, je voyais Georges commencer à se déshabiller. Chemise, pantalon, chaussettes, tout y passa sauf son caleçon qu’il ne se décidait pas à ôter. Il s’installa confortablement sur notre canapé en attendant l’arrivée de mon petit cœur d’amour. La voilà qui arrivait. Elle avait revêtu une blouse blanche très courte, genre médicale. Sans attendre, elle s’est agenouillée entre les jambes de son client puis lui a retiré son caleçon. Je découvris son sexe tel qu’elle me l’avait décrit. Il ne bandait pas encore, mais à mon avis ça n’allait tarder car je le voyais se déplier lentement. Elle posa ses doigts sur la verge en commençant à la caresser doucement, allant du sommet de la verge jusqu’à la base de la hampe puis sur les bourses couvertes d’un fin duvet de poils poivre et sel. Rapidement la verge se dressa, m’apparaissant dans ...
    ... toute sa splendeur, raide et dure. Elle leva alors les yeux vers moi, un petit sourire aux lèvres, puis ouvrit toute grande sa belle bouche de salope et engouffra le gland entre ses lèvres. Georges poussa un long soupir tandis qu’elle le laissait s’enfoncer profondément au fond de sa gorge. Je n’en revenais pas qu’elle lui fasse ça à lui, alors que moi je n’y avais jamais eu droit. Elle s’empala doucement sur le long pieu, le fit ressortir, recommença dans un mouvement de va-et-vient sans fin. Je n’en pouvais plus de voir ce membre entrer et sortir entre ses lèvres, et les gémissements que poussait notre vieux m’excitaient tellement que je finis par sortir ma queue pour commencer à me branler doucement. La sensation était énorme. Plusieurs fois je fus obligé de serrer la base de mon gland pour faire retomber la tension et éviter de gicler. J’allais jouir. C’était trop bon, Charlie. C’était trop bon. Charlie ne voulait visiblement pas de ça. Elle arrêta de le pomper, sous les protestations de son client puis, levant les yeux vers moi, elle se désapa en souriant. Elle était nue sous sa blouse. Pas le moindre sous-vêtement. Mon cœur allait s’arrêter. Elle enjamba le papy en posant une jambe sur l’un des accoudoirs du canapé, puis tout en ouvrant sa chatte avec ses doigts, guida la verge avec son autre main vers l’entrée de sa vulve. Le papy n’en croyait pas ses yeux, sur le point de sortir carrément de leur orbite. Juste avant de se laisser descendre sur le membre, elle me lança ...
«12...5678»