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Les Salines
Datte: 16/11/2018, Catégories: Épouses affectueuses,
... muqueuses qui les sépare. Encore une heure sur ce rythme, je ne sais combien de fois j'ai pu être prise et reprise. Nous finissons par nous endormir tous, mêlés et épuisés. Le froid de l'aube me réveille, je suis seule, ma robe est un peu plus loin mais pas ma culotte devenue trophée sans doute. Je me dirige vers l'hôtel. En entrant à la réception je vois Paul avec nos bagages. _Je ne savais pas si tu allais rentrer à temps. J'ai avancé notre retour, si tu n'étais pas rentrée j'aurais laissé tes bagages et ton billet à la réception _Je monte me doucher et me changer _Non on n'a pas le temps tu sais bien qu'il faut être une heure en avance à l'aéroport J'hésite le temps d'un instant, mais je ne vais pas non plus passer ma vie sur la plage à me faire tringler par le premier venu. Je monte donc docilement dans le taxi non sans remarquer le regard du chauffeur lorsque j'ai accédé au siège un peu haut du 4x4. Finalement nous seront en retard à l'aéroport et les bagages iront directement à l'enregistrement exit le change donc. Je me retrouve avec les fesses à nu sur la feutrine des sièges coincée au centre de la rangée du milieu entre un étudiant à ma droite et mon mari. La clim génère un froid de canard et je suis obligé de réclamer une couverture supplémentaire à l'hôtesse. Nous volons depuis plus d'une demie heure lorsque sous les couvertures, réchauffée je ...
... m'assoupie enfin. Pas pour longtemps car je sens sur ma droite une main exploratrice qui frôle ma cuisse, s'y attarde et qui devant mon manque de réaction se dirige vers ma toison pour découvrir oh surprise l'absence de toute barrière, un doigt s'insinue bientôt dans mon sexe encore poisseux de mes excès de la nuit et je ne me surprends même plus à ouvrir plus les jambes pour lui faciliter la tâche. Ce faisant ma jambe vient cogner celle de mon mari qui va prendre cela pour une invitation à la réconciliation. --------------------------------------------- Comment lui résister? Tout ira bien à Paris, j'ai pris la bonne décision en avançant notre vol de retour. Il fallait la séparer brutalement de ce lieu. C'est fini cette folie, je la sens raisonnable, vulnérable sous ses couvertures. Sa jambe vient heurter la mienne cela ne peut pas être un hasard. Elle cherche mon pardon sans doute. Ma main se faufile entre le siège et les couvertures à la rencontre de sa cuisse que j'escalade jusqu'au bombé de son pubis. Je redescends pour rencontrer sa main. Elle se masturbait sans doute en douce et me demande de participer ce qui m'excite au plus haut point. Nos doigts entremêlés se croisent dans un liquide épais et chaud. Dans un soupir elle laisse retomber une des couvertures sur ses genoux et je découvre horrifié ses deux mains croisées sur la première des couvertures.