1. Clémence T., devenue escort-girl à 21 ans


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fhh, jeunes, prost, nympho, bizarre, Collègues / Travail fist, fdanus, fsodo, Partouze / Groupe uro, init, confession,

    Je m’appelle Clémence T. et j’ai 31 ans. Déjà 10 ans… 10 ans que ma vie a basculé dans l’escorting, pour mon plus grand plaisir. Oui, je suis devenue pute, sans doute trop tôt, sans doute pas pour les bonnes raisons, mais pour rien au monde je ne regrette ce que j’ai fait, tant j’ai découvert de nouvelles choses sur moi-même et sur les hommes. Quelques mots sur moi pour me présenter : je suis plutôt jolie, grande (1 mètre 80), blonde et gymnaste en compétition ; j’ai arrêté depuis, mais c’est la gym qui m’a permis de me réconcilier avec mon corps, moi qui le trouvais toujours trop grand, trop maigre, trop différent. Je travaille dans une entreprise de bâtiment ; ma spécialité est de restaurer des monuments historiques, et je suis parfois la seule femme sur ces chantiers de BTP ! Ma poitrine n’est pas très grosse mais mon 95B me convient parfaitement, et mes hanches sont marquées, faisant ressortir mes fesses sculptées par la compétition. Malgré tout, quand j’étais ado, je complexais beaucoup quand les garçons me traitaient de ficelle, de grande perche ou de girafe. Jusqu’à mes 18 ans, j’étais encore timide et vierge… plus pour très longtemps. Tout a commencé avec Carlos, un mec formidable, le premier vrai amour de ma vie. Il était plus âgé que moi, beaucoup plus d’expérience, et libertin dans l’âme. Moi qui étais une oie blanche issue d’une bonne famille bourgeoise de l’Ouest parisien, j’ai vécu ma plus belle et ma plus intense expérience. Il y avait tout : l’amour, la ...
    ... confiance, la protection, le sexe, le plaisir, la brutalité, les interdits… En moins de 6 mois, Carlos m’avait ouvert un champ de possibilités que je n’aurais jamais imaginées, moi qui avais été élevée par des parents bien trop protecteurs. J’ai joui dans ses bras plus qu’avec n’importe qui ; mon ventre le demandait à chaque instant où j’étais séparée de lui ; mon corps jouissait de le recevoir au plus profond de moi. Je me sentais bien avec lui ; nos âmes étaient comme liées l’une à l’autre. Avec lui j’oubliais tout : le temps, l’espace, mon éducation bornée, mes limites qu’il s’amusait à me faire franchir les unes après les autres. J’ai joui comme une damnée avec sa queue ; j’aimais plus que tout la sentir racler mes parois sèches avant qu’elles ne coulent de désir, j’implorais son pieu de me déchirer autant qu’il le pouvait. Je ne vivais que pour ces accouplements d’une sauvagerie qui aurait effrayé la gamine que j’étais peu de temps avant. Tout en lui m’excitait, et je n’étais rassasiée et comblée que lorsqu’il me défonçait comme une vraie salope, quand sa bite cognait à m’en rendre malade le fond de mon ventre, et que je le sentais labourer mes entrailles avec fureur. Il me faisait sentir que j’étais sa chienne, et ça me plaisait plus que tout. J’étais son trou à bite, son vide-couilles, son morceau de viande à massacrer. Je me suis découvert aussi des penchants sombres, comme cette fois où, perdue de désir, ma vessie a échappé à mon contrôle à ma plus grande honte. Carlos n’a ...
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