1. Clémence T., devenue escort-girl à 21 ans


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fhh, jeunes, prost, nympho, bizarre, Collègues / Travail fist, fdanus, fsodo, Partouze / Groupe uro, init, confession,

    ... eu la réputation de salope, et je ne crois pas avoir passé un jour sans me faire démolir par les ouvriers, tous âges, toutes provenances, tous fantasmes. Ma réputation a dépassé le cadre du chantier pour arriver aux oreilles des cadres de Vinci. Chaque cadre ou directeur venait prendre son dû et repartait avec des idées plus vicieuses encore pour la fois suivante. On m’a pénétrée, élargie, enculée, fistée, remplie, échangée, humiliée, défoncée, autant par revanche que par lubricité. Moi, la petite apprentie ingénieur bien sous tous rapports, voilà que je devenais la pire des putes… Pute… À force de l’entendre, ce mot a résonné avec tout son sens. Le prononcer me mettait dans un état de transe à chaque fois ; j’avais l’impression de me faire payer en tendresse et affection, même si mon corps avait dépassé depuis longtemps les limites acceptables. Ma chatte est devenue énorme, tuméfiée, surdéveloppée, tandis que mon anus se creusait en forme d’entonnoir, quand il ne formait carrément pas une deuxième chatte boursouflée après la démolition en règle qu’il subissait chaque jour. Pute… pourquoi pas après tout ? J’étais encore étudiante, je manquais d’argent, et je prenais conscience du pouvoir du sexe sur les hommes. Et puis l’escorting attisait ma curiosité. J’ai donc décidé de passer le pas sur Internet, au gré des sites de petites annonces où des hommes exposaient leurs fantasmes. C’est ainsi qu’à 21 ans, moi, Clémence, je faisais mes premiers pas en tant que pute. J’avais déjà ...
    ... roulé ma bosse, j’avais déjà tout vu, trop vu, trop vite. Mon corps ne m’appartenait plus ; il appartenait à ces centaines d’hommes qui m’avaient détruite à force de pénétrations atroces, à ces bites qui me démolissaient à chaque coup de reins hargneux. Alors j’ai pu enfin prendre ma revanche, du moins le croyais-je. En ce début d’année 2008, j’enchaînais les rendez-vous, je jouais de mon âge pour faire fondre ces messieurs tout en leur permettant d’assouvir leurs plus vils penchants. Sans capote encore – je n’en avais rien à faire à cette époque – je me faisais saillir comme la pire des putes, je me laissais souiller l’intérieur de mon corps, enchaînant les passes avec une excitation croissante à mesure que ma chatte dégoulinait et que mon porte-monnaie gonflait. C’était ma récompense à moi, et j’étais prête à aller très loin pour en avoir toujours plus. Un client m’a prise avec son père, veuf depuis plusieurs années, ravi de voir qu’une jeune femme fraîche acceptait sa pénétration au Viagra. L’inceste et l’humanitaire dans une même passe. Un client s’est soulagé la vessie dans mon cul après une sodomie qui m’avait déchirée. J’ai senti mon ventre gonfler sous la pression de son flux et me brûler dans mon cul meurtri. Plusieurs m’ont fistée, la chatte ou le cul, parfois les deux en même temps. Qu’importe mes cris, seul comptait le résultat : avoir les poings enfoncés en moi jusqu’au poignet, dussé-je en mourir. Un autre a voulu me clouer les seins sur ma table basse ; j’ai eu ...