1. Clémence T., devenue escort-girl à 21 ans


    Datte: 16/11/2018, Catégories: fhh, jeunes, prost, nympho, bizarre, Collègues / Travail fist, fdanus, fsodo, Partouze / Groupe uro, init, confession,

    ... pas eu l’air d’être choqué ; bien au contraire, il m’a encouragée à me lâcher et à m’exciter, provoquant chez moi un orgasme trouble fait de visions de petite fille mélangées à une odeur de femme mûre. Ces jeux d’O me faisaient tressaillir et provoquaient en moi des ondes de plaisir, surtout quand Carlos m’honorait de sa pisse, enveloppant mon corps dans une douce chaleur tiède qui collait légèrement sur ma peau. Je l’ai goûtée, je l’ai bue, j’ai avalé des litres de lui par gorgées entières jusqu’à plus soif. J’ai tiré la dernière goutte de son urine bien des fois, heureuse d’avoir pu lui servir de réceptacle. Je frissonnais de désir et de dégoût quand son liquide douceâtre envahissait ma gorge pour se déverser au fond de mon estomac, me faisant sentir chienne à un point inimaginable. Nous vivions une fusion des corps et des esprits totale. Et puis ce qui devait arriver arriva. Mes règles n’arrivaient pas. Un mois, puis deux… J’ai acheté un test de grossesse pour en avoir le cœur net et ce fut la catastrophe : j’étais enceinte de lui. J’étais enceinte de mon amour. J’étais si heureuse. Et si désespérée. Ça ne pouvait pas tomber à ce moment-là ! Mes études, ma carrière, mon avenir, tout allait s’écrouler par ma négligence, j’allais tout perdre de ce que j’entreprenais depuis si longtemps. Que dirait ma famille, elle qui n’aimait déjà pas mon Carlos ? Quels regards désapprobateurs devrais-je affronter ? Je pris donc la décision de tuer le fruit de notre amour, pour sauver mon ...
    ... avenir. Carlos ne pouvait pas m’accompagner ; il était triste de ne pas pouvoir garder cet enfant, la chair de sa chair, mais il comprenait mon choix. Je suis donc allée à l’hôpital avec une amie qui m’a soutenue dans cette épreuve, qui a été avec moi quand une partie de moi est sortie de mon ventre. Puis ce fut le trou noir. Peu de souvenirs. Le flou total. Entre dépression et culpabilité, je trompais mon ennui en allant en concert, auxSolidays par exemple, autant pour me vider la tête que pour essayer d’avancer. Mon corps était loin de moi, loin de mes préoccupations, et j’avais un besoin irrépressible que l’on s’occupe de moi. J’ai prêté mon corps à qui voulait, échangeant du sexe amer et décevant contre quelques câlins entre des bras compatissants, parfois pas. Dès que quelqu’un semblait me porter de l’intérêt, je l’allumais à mort pour qu’il me prenne, acceptant l’inacceptable. Moi, la petite bourgeoise de Houdan, l’étudiante en bâtiment, voilà que j’étais prise en cave par des petites frappes qui me faisaient tourner, parfois avec capote, le plus souvent sans. Je me suis retrouvée la chatte en feu, couverte de foutre de la tête aux pieds. Dans le cul aussi ; on m’a remplie comme une outre avec des semences qui venaient de plusieurs connards, ces mêmes connards que j’avais allumés en faisant l’article de mon corps. Ils ne m’ont pas loupée : leur foutre coulait de tous mes orifices en cascades innommables. Sur le chantier de l’église de Charonne que je dirigeais, j’ai vite ...