La jalousie serait-elle contre-productive ?
Datte: 16/11/2018,
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... slip de bain bleu nuit. Je passe de l’huile sur ses mollets, sur ses cuisses. Je les pétris, ses cuisses. Il écarte les jambes, soulève ses hanches. Il voudrait que mes mains aillent s’égarer vers son entrejambe. Elles ne le font pas. — À toi Laurent, maintenant !— Et moi, qu’est-ce que je fais, alors ?— Tu lui cèdes la place. Il bande comme un cerf, fait mine de le cacher puis en rit : — Regarde dans quel état tu m’as mis ! Laurent s’allonge sur le ventre et se prête de bonne grâce à mes caresses. J’apprécie la fermeté de ses fesses. Ses chevilles sont fines et ses pieds chatouilleux, ainsi que ses aisselles. Ensuite vient le tour d’Alex, le plus râblé de tous. Il faudrait le pétrir longuement, lui, pour faire fondre l’excès de graisse qui commence à nuire à sa silhouette. Trop de repas d’affaires. Mais : — Julien, couche-toi sur le dos maintenant ! Alex lui cède la place. Sous son slip de bain, son pénis me semble plus épais que celui de mes deux camarades de promo. Mais plus court aussi, peut-être. Je fais couler quelques gouttes d’huile sur la poitrine de Julien, et je masse. Ses petits tétons sont érigés, je les frôle puis les pince délicatement. Sa main droite avance en direction de ma cuisse. — Tu ne me touches pas, ou je pars !— Pardonne-moi, Sophie… Je masse ses pieds, ses chevilles, ses mollets, ses cuisses. Sous le tissu bleu nuit palpite sa bite incandescente (là, je peux dire incandescente !) mais je ne la touche pas. C’est à peine si je frôle ses couilles, ...
... comme par inadvertance. — À toi, Alex. Je souris en voyant la tête de Laurent. Je ne lui dis pas que je le garde pour la bonne bouche, Dieu sait ce qu’il irait s’imaginer ! Mais je palpe et caresse le corps d’Alex. Puis vient le tour de Laurent. Tout cela a pris du temps. Il faut aller sous la douche froide et se rhabiller car la thalasso ferme à 19 heures. Voyons… Aurais-je oublié quelque chose ? À 18 heures, ils avaient encore leur slip et moi mon bikini. Qu’a-t-il bien pu se passer pendant l’heure qui a suivi ? Je te laisse le soin de l’imaginer, mon chéri. Jeudi 26 septembre, 21 heures, Nicolas à Sophie Tu es capable de tout mais je t’aime. Quoi que tu puisses faire, je t’aime. Demain tu seras ici. Je saurai bien te faire oublier ce maudit séminaire. Oh oui, nous ferons l’amour avec véhémence ! Jeudi 26 septembre, 21 h 48, Sophie à Nicolas Ton « avec véhémence » m’amuse beaucoup. La dernière nuit de ce « maudit séminaire » commence. Il est de tradition, m’a-t-on dit pendant le dîner, de laisser les portes des chambres entrouvertes la dernière nuit. Il n’est pas impossible que ceux qui m’ont dit cela m’aient quelque peu menti mais j’ai fait semblant de les croire. — Je le ferais bien volontiers, leur ai-je répondu, mais avec ces portes qui s’ouvrent à l’aide de cartes magnétiques, c’est malheureusement impossible.— Pas du tout, m’ont-ils rétorqué. Juste au niveau de la serrure, tu coinces entre la porte et le chambranle un des dépliants touristiques que l’hôtel met à ta ...