La jalousie serait-elle contre-productive ?
Datte: 16/11/2018,
Catégories:
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... à l’autre. Ceux-ci se sont évidemment constitués comme les tables. Entre Frédéric et Virginie, la lune de miel continue, ils exposent des yeux cernés et se vantent d’avoir très peu dormi. Ordre du jour de l’atelier : entretiens de licenciement et d’embauche. Je dois licencier Laurent, qui commence par affirmer qu’il préférerait que je le débauche. Mais moi, très sérieuse : — Nous ne sommes pas mécontents de vos prestations mais la rigueur des temps, la mondialisation, les exigences de nos actionnaires, et patati et patata… Arrive Joyeux. — Mademoiselle, tout cela manque un tout petit peu d’originalité. Peut-être auriez-vous pu faire en sorte que votre collaborateur tentât de vous manquer de respect, jolie comme vous êtes cela n’eût été en rien surprenant et cela vous eût permis de le licencier sans indemnité. La licence, mademoiselle, avant le licenciement ! Et il va faire le guignol à une autre table. Alors Laurent : — Tu vois bien que j’avais raison en parlant de débauche. Oh oui, Sophie, je t’ai manqué de respect ! Nous étions dans une salle d’archives, tu étais juchée sur un escabeau, en jupe comme aujourd’hui. J’ai caressé tes mollets. Tu m’as dit d’arrêter mais d’un ton pas très convaincant. Alors j’ai caressé tes genoux, tes cuisses. Et j’ai soulevé ta jupe…— Je te tournais le dos, me semble-t-il.— Et alors ?— Alors rien. Continue.— String ou petite culotte ?— Petit bateau en coton bio. Blanche.— Menteuse ! Elle est noire, je l’ai entrevue au bar, quand tu étais ...
... sur le tabouret pour l’apéro. À moins que… Mais non, c’était bien ta petite culotte. Je l’écarte, je lèche…— Et je tombe de l’escabeau ?— Dans mes bras ! Je t’embrasse. Nos langues se rencontrent, je glisse les mains sous ton chemisier et je pétris tes seins si beaux.— Tu pétris ? C’est contre-productif !— Ah, tu es sensible des seins ? Je m’en doutais. Fallait voir comme tes tétons roses pointaient fièrement quand tu étais sur l’estrade, exposée aux regards de tous ! Et comme ils pointent encore quand tu te penches. Alors non, je ne pétris pas, je caresse. J’en saisis les pointes entre pouce et index et je serre, doucement. Puis j’y porte les lèvres.— Et mon chemisier ?— Je l’ai déboutonné, pardi ! Maintenant je t’en débarrasse, je dégrafe ta jupe, je baisse ta petite culotte. Je saisis tes chevilles, l’une après l’autre, pour te libérer de ce sous-vêtement inutile. À genoux devant toi, je rends l’hommage qui convient à ton sourire vertical : ma langue s’immisce dans ta caverne des délices, j’en aspire délicatement le gardien décoiffé, tu défailles, tu chois sur les paquets d’archives… Non, inutile de me sucer, j’ai tellement envie de toi que je n’y tiendrais pas et que j’éjaculerais dans ta bouche ! Or, je veux te donner du plaisir, Sophie, le plaisir suprême ! Je rentre en toi comme… euh…— Oui ?— Oui ! Justement tu me dis : Oui, viens en moi, emplis-moi, Laurent ! Comble-moi, bourre-moi, défonce-moi, déverse en moi ta liqueur d’amour ! Merde, revoilà Joyeux ! … Non, ...