La jalousie serait-elle contre-productive ?
Datte: 16/11/2018,
Catégories:
fh,
fhhh,
extracon,
Collègues / Travail
sauna,
essayage,
caférestau,
telnet,
jalousie,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
BDSM / Fétichisme
massage,
lettre,
couple,
... Mademoiselle, croyez bien que je ne vous ai aucunement manqué de respect ! Bien au contraire, je n’ai fait que rendre un… joyeux hommage à vos irrésistibles charmes… Joyeux : Eh bien, on s’amuse ici, au moins ! Mademoiselle – Sophie, vous permettez que je vous appelle Sophie ? (Il avait lu mes nom et prénom sur le badge épinglé juste au-dessus de mon sein droit) Sophie, vendez-vous. Ce pauvre garçon a raison et c’est vous qui avez été licenciée pour avoir fait tourner la tête de vos collègues, la tête et… le reste. Alors vendez-vous ! Vous êtes devant ceux qui décideront de votre avenir. Que leur dites-vous ? — Que je me consacrerai corps et âme à mon travail, que je me donnerai à fond, pour le plus grand bien de l’entreprise. Qu’il faudra me passer sur le corps pour que je cesse d’œuvrer sans cesse à la satisfaction pleine et entière de ses dirigeants, de ses administrateurs, et même de chacun de ses actionnaires les plus importants.— Oui… Hum ! Ne donnez pas trop dans ce genre d’humour quand même, cela pourrait devenir assez vite contre-productif. Et si vous avez besoin de conseils, n’hésitez pas à me contacter, belle enfant. Mercredi 25 septembre, 19 h 05 — Nicolas à Sophie : Qu’as-tu fait hier soir ? Tu ne me dis rien ! Pourquoi avoir acheté un bikini ? Et les nuits ? Que se passe-t-il les nuits ? Je veux le savoir ! Tu lui as ouvert ta porte ou non, à cet Alex ? Dis-le moi je t’en supplie ! Je suis effondré. Je t’embrasse partout, quand même. Moi aussi, je sais glisser ...
... ma langue et ma bite, et il me semble que cela te convient, d’ordinaire ! À l’idée que d’autres peuvent le faire et que cela te plaît peut-être autant ou même plus que si c’était moi, je souffre abominablement mais tu t’en moques bien. Mercredi 25 septembre, 19 h 40 — Sophie à Nicolas : Bientôt l’heure du dîner. Je t’embrasse, mon pauvre chéri. Tu te fiches des conférences que je subis tout au long de la journée, seuls t’intéressent mes débordements, si débordements il y a. D’accord, mon amour ! Il est 9 h 15. Exposé de Prof. Au lieu d’inscrire ses inutiles conseils, je me sers de mon notebook pour rédiger le compte-rendu que je joindrai à mon prochain courriel. Tu veux savoir pourquoi j’ai acheté un bikini lundi après-midi. C’est bien simple : mes compagnons voulaient m’entraîner à la thalasso. Je ne pouvais quand même pas les y accompagner nue comme un ver ! Alors je leur ai dit : demain, mes amis, demain ! Et le lendemain, c’est-à-dire hier, nous y sommes allés peu après 17 heures. L’eau de mer est à plus de 35 degrés, on y barbote gentiment. Dans le sauna il ne se passe pas grand-chose, on transpire puis on va sous la douche froide. Brrr ! Mes compagnons qui avaient commencé à bander, m’avait-il semblé, se calment vite ! Puis la vapeur du hammam nous saute à la figure. On n’y voit rien ! Assez cependant, au bout de quelque temps, pour s’apercevoir que des couples se câlinent discrètement. J’aimerais m’allonger mais il n’y a pas assez de place. Je me cale dans un coin. Alex ...