Amours culottés (1)
Datte: 17/11/2018,
Catégories:
Inceste / Tabou
... vraiment à son fils, en s’intéressant à sa production de sperme, mais elle était fière de voir qu’il était devenu un homme et ce sentiment était, chaque fois, d’autant plus fort que le caleçon était sale. Le lendemain, Brice fut soulagé de trouver une panière vide de culottes et sa journée fut plus radieuse. Il avait l’impression de pouvoir résister à son fantasme et il en était extrêmement satisfait. Arnaud continua à le bassiner avec la qualité des femmes couguars, mais il ne l’écouta presque pas et rentra chez lui de bonne humeur. En arrivant, il alla embrasser sa mère qui trouva qu’il avait meilleure mine. C’était un vendredi soir, elle avait passé sa tenue décontractée du week-end, un legging et un t-shirt, et repassait le linge lavé la veille en regardant une série. — Poussin ? — Oui, Maman ? — Ton père a sa réunion de direction, ce soir, du coup on va manger un peu tard ; ça te dirait de manger chinois ? — Carrément ! — Alors, je te charge de passer commande pour une livraison à neuf heures ; j’ai encore une tonne de repassage, une lessive qui tourne et je voudrais en mettre une dernière dans la foulée. D’ailleurs, si tu te douchais avant et que tu te mettais un pyjama propre, ça m’arrangerait. Comme ça, j’aurais pratiquement tout évacué et on repartirait avec du linge propre la semaine prochaine — Pas de problème ! En plus, j’avoue que le pyjama que j’ai commence à puer un peu… Je commande quoi chez le chinois ? — Comme d’habitude, un assortiment ; tu fais ça très ...
... bien. Mais n’oublie pas que ton père raffole des noix de Saint-Jacques à l’ail et au basilic. — Je sais, Maman, j’y pense et du canard laqué pour toi aussi. — Poussin ? T’es un amour, je t’aime. — Moi aussi, je t’aime, Maman, répondit Brice troublé par le double sens de ses propos. Il se dirigea dans sa chambre et sortit de sous son oreiller son pyjama sale. Il éprouva presque de la honte en sentant l’odeur qu’il dégageait et les tâches qui avait traversé le tissu épais, au devant du pantalon. Il avait beau avoir 18 ans, il avait toujours porté, pour dormir, des pyjamas semblables à ceux que l’on met aux petits garçons. Seule la taille avait changée et les décors de héros de dessins animés avait disparus, mais la coupe et la matière restaient inchangées. Il en prit un propre avec un bas bleu marine et un haut rayé de blanc et alla se doucher. Il se lava rapidement, se sécha convenablement et enfila son vêtement de nuit dans lequel il trainait parfois tout le week-end quand il ne sortait pas. Line aimait le voir dans ses pyjamas en jersey de coton ; ça lui rappelait toujours son petit garçon, mais les formes qui s’affirmaient sur le devant, même si elles correspondaient à celles d’un sexe flaccide, attestaient de sa virilité de jeune adulte. Il y avait bien longtemps qu’elle n’avait pas vu son petit garçon tout nu, mais ce que soulignaient les déformations du pantalon légèrement moulant laissaient imaginer une verge beaucoup plus imposante que celle de Gabriel. Brice abandonna sa ...