-
La chose intime
Datte: 06/08/2017, Catégories: fh, hplusag, jeunes, vacances, Oral préservati, pénétratio, init, nostalgie, prememois, initfh, camping,
... empire autoritaire. Je brûlais d’envie. Je brûlais d’amour, mais je ne le savais pas encore. Les cailloux étaient inconfortables, mais cela n’empêchait rien. Je prenais des initiatives. Sur lui, je frottais inlassablement mon sexe contre le sien tandis qu’il me malaxait les fesses. Je ne pouvais m’empêcher de gémir. J’étais bien trop excitée. Je n’osais pas demander plus. — Encore, répétait-il à chaque fois que je faiblissais quelque peu. Il disait aussi : Tu es belle, ou : Tu es douce. Et moi, ne sachant quoi répondre, je bredouillais : — Je ne fais rien pour. J’acquiesçai à toutes ses paroles me laissant bercer par le doux chant de sa voix. — Allons sous ma tente, dit-il.— Je ne sais pas. Quelques minutes plus tard, il réitéra sa demande. J’avouai : — Je… en fait…— Je sais, me coupa-t-il.— D’accord alors. Les lettres s’étalent sur mon carnet : Et sous la tente quand il m’a déshabillée et que moi je n’ai pas osé. Il a ouvert son antre et m’a fait glisser sur son matelas. Nous avons commencé à échanger des baisers de plus en plus intenses. Ses lèvres pressaient les miennes goulûment. Alors, j’introduis ma langue dans sa bouche. Elle se mêle à la sienne. Je m’amuse à caresser le dessus de sa langue qui est râpeux, puis le dessous de sa langue qui est mou. Nous nous arrêtons. Il émet un rire bref. Je demande pourquoi. Il ne répond pas. Je ne le vois pas. Il fait noir. Il enlève mon haut. Je ne porte pas de soutien-gorge. Il ne s’y attendait pas. Ça a l’air de lui plaire car il ...
... se met à embrasser mes seins nus. On dirait qu’il veut les recouvrir complètement de ses baisers. Je me laisse faire. C’est drôle et c’est tellement agréable. Il mordille ensuite mes tétons. J’agrippe sa tête et le serre contre ma poitrine. Il continue à mordre délicatement. Et il glisse sur mon ventre. Il retire son haut et se blottit contre moi. Il me serre très fort contre lui. Je sens sa main défaire mon pantalon. Elle remonte de nouveau jusqu’à mes seins, mon cou et mon visage. Puis elle court se perdre dans mes cheveux. Il retire ensuite son bas et le mien. Mes yeux s’habituent à la pénombre. Je perçois à présent son caleçon. Il est simple et blanc. Il l’enlève et reste un instant assis à côté de moi sans me toucher. Je suis couchée et j’observe. Son pénis se dresse avec fierté. Je devine sa rigidité et les plaisirs qu’il peut offrir. En mon for intérieur, je demande « Y a-t-il plus beau qu’un homme nu ? ». Sans prévenir, il pose ses mains sur mes hanches et retire ma culotte. L’air glisse sur mes parties intimes. Il se couche contre moi et, se penchant sur mon oreille, murmure : — Les filles se plaignent souvent de leur première fois.— Auprès de toi ?— Non. Dans les magazines. C’est pourquoi j’irai tendrement.— D’accord.— Tu n’as pas peur ?— Non. Je me rappelle que je ne voulais rien oublier. J’ai tout noté. Les moindres détails sont là : Ses doigts chatouillant mon clitoris et pénétrant mon vagin. Moi le masturbant. J’ai bien tenté en effet de lui donner moi aussi du ...